C’est ce qui ressort de la correspondance du vice président de cette institution- Région Afrique adressée au président de la République du Burundi : « Nous tenons à vous assurer de la disponibilité du Groupe de la Banque mondiale, en collaboration avec les autres partenaires de développement, à aider le gouvernement à identifier et soutenir la mise en œuvre des actions urgentes pour limiter les impacts négatifs de cette crise et poser les bases de relance des activités. »
Selon la lettre de solidarité concernant l’incendie du marché, les patrons de la Banque mondiale réalisent que ce désastre a de graves conséquences humaines y compris de nombreux blessés ainsi que des impacts économiques et sociaux importants.
M. Jim Kim, président de la Banque mondiale et M. Makhtar Diop son adjoint Région Afrique ont assuré au chef de l’Etat ainsi qu’à l’ensemble du peuple burundais l’entière solidarité de la Banque mondiale. Selon la correspondance, le bureau de la Banque mondiale à Bujumbura est disponible pour travailler avec les comités mis en place par le gouvernement.
Archives
Après l’incendie du marché, la Banque mondiale assure sa disponibilité à aider
A nos chers lecteurs
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.
Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.
Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.Je soutiens Iwacu
Lire sur le même sujet
Editorial de la semaine
Dépités par nos députés
En décembre dernier, une députée a revendiqué, lors d’une séance de questions au ministre de l’Énergie, une station-service réservée uniquement aux élus, se plaignant d’être méprisée lorsqu’elle devait faire la queue. Ces propos ont profondément choqué l’opinion publique et ont (…)
Les billets d'Antoine Kaburahe
