La police continue à présenter des anciens combattants qui se seraient rendus et qui font des révélations. Ce mardi 22 mars, c’était le tour de la vérité sur la mort du fils de Pierre Claver Mbonimpa.
« Welly Nzitonda a été abattu par des policiers alors qu’il voulait leur lancer une grenade en s’enfuyant.» Tel est le témoignage d’Epitace Ingabire, 25 ans, dans les enceintes du SNR (Service national des renseignements). Il se décrit comme un des grands anciens combattants de la capitale, et un grand ami de feu Welly Nzitonda qui se battait avec eux.
D’après lui, le fils du célèbre défenseur burundais des droits de l’Homme a rencontré, le 6 novembre, sur la 12ème avenue dans la zone urbaine de Cibitoke, une des policiers en pleine opération de désarmement, alors qu’il avait une grenade chinoise dans ses habits. Il a alors voulu s’enfuir en leur jetant la grenade et les policiers lui ont tiré dessus. «Ils ne savaient pas qui il était. Même s’il était fils du président, un malfaiteur reste un malfaiteur.» Selon ce témoin, il n’a été reconnu que plus tard par la police.
Pourtant, s’indigne-t-il, cela n’a pas empêché les gens de déclarer qu’il a été tué par la police parce que c’est le fils de Pierre Claver Mbonimpa, le président de l’APRODH. « C’est archifaux, il a été abattu parce qu’il avait une arme.» Il avoue avoir pourtant donné une version contraire à l’organisation Human Rights Watch parce que, à ce moment-là, il croyait encore en leur mouvement et n’avait pas encore eu la décision de se rendre, et il a été payé. D’où, explique-t-il, la version erronée qui a circulé sur les réseaux sociaux et dans certains medias.
Des révélations désintéressées…
Epitace Ingabire indique qu’il habite dans les enceintes du SNR, où il est bien traité. Selon lui, il n’a jamais été torturé ou battu, et il nie avoir entendu ou vu quelqu’un être maltraité au SNR. «Certains disent que nous sommes payés pour faire de faux témoignages, mais c’est faux. Nous étions des malfaiteurs et il n’était pas encore temps qu’on soit payés. » Ce qui l’a poussé à se rendre, avoue-t-il, est qu’il ne voyait pas l’issue de leur combat, puisque leurs armes étaient saisies par la police, tandis que ses camarades étaient soit tués, soit blessés ou emprisonnés. «La guerre n’a pas marché, il reste à travailler pour le pays. Nous n’avons pas été payés, mais si jamais il y a une récompense, nous l’accepterons telle qu’elle sera. »
Ce témoignage intervient après celui de samedi le 19 mars dernier, où un autre combattant qui s’est rendu, Clovis Kwizera, alias Désiré, a avoué à la télévision nationale avoir participé à l’assassinat des trois sœurs italiennes à Kamenge en septembre 2015 sur ordre d’Alexis Sinduhije.
C’est ridicule ces montages grossiers et grotesques!ejo bazovuga ko bari mubishe Umukama Yezu,bari mubishe Darius,bishe ba bantu bo mu gatumba.Ejo bazokwemezako ata muntu numwe yapfuye ataribo bamwishe.ariko nivyiza abo nibo bazotwereka abo bantu bakora ama montages nkayo!
C’est intéressant, quand-même, le fait d’avoir deux témoignages contradictoires de la part d’un même individu. Alors, lequel est crédible? C’est la Justice qui le dira mais tout un chacun a le droit et la liberté de croire en celui (le témoignage) qu’il veut et comme il veut.
Il est grand temps que vous cessez de mentir. Vous êtes entrain d’utiliser nos impôts pour payer ces (autres)bandits menteurs. Est-ce que vous avez encore la déclaration de Hermès HARIMENSHI ancien porte-parole de la police, sur l’assassinat des soeurs italiennes à Kamenge? Si oui, où est la cohérence? Sinon où est la justice? Pourquoi ces révélations viennent-ils si tard et surtout en cascade? Pourquoi faites vous confiance en des gens issus des milieux plutôt stigmatisés? Un rwandais qui se réclame militaire sans connaître ses chefs hiérarchiques et qui par après est reconnu comme un voleur par ses parents et ses proches. Un présumé tueur qui avoue son meurtre alors qu’il est un malade mental qui ne parle à personne, sauf à la PNB? C’est vrai que le ridicule ne tue pas, mais vous devez savoir que l’histoire ne tolère jamais. Mais d’une autre part je ne vous condamne pas car la collaboration se fait entre des catégories de paires plus ou moins semblables.
Des confessions dignes du «deus ex machina », locution latine signifiant, je cite, « dieu sortant d’une machine » et désignant une personne, un événement dont l’intervention quasi invraisemblable apporte une issue favorable à une situation tragique ». Comprendre bien sûr: issue favorable pour le pouvoir. Mais comme ce dernier a perdu la guerre de communication depuis longtemps, suite aux diverses erreurs et manipulations, très peu de gens vont y croire.
Je pari que c’est le même Epitace Ingabire qui a tiré hier sur le col Darius . Enquête terminée il faut appeler la RTNB pour boucler la boule
Bareke.kizima arivyo biyemerera!nimba yemeye kwariwe yadutera ama grenades narindire tuzobimubaza neza muminsi iza. Nyakwigendera Welly nawe azokozwa ntaco
None ga basha ko mubarya umuhari mugomba babigenze gute ko baronse chance yo kuticwa
plus tard musobatahura
mbe nk’uyo aba muri SNR nimbayumva amaborogo y’abandi akabona abicwa abona,iyo si torture morale?
ninde bohitishamwo kubesha ngo ntabikore hako ubona ivyo ubona kubandi?
namwe nimwishire mukibanza cabo
Que signifie la peur dans ses yeux? Physiquement, il ne ressemble pas a un combattant.
Il n’a pas ete maltraite, pourtant il ne montre pas clairement ses bras et ses jambes (ligotes?). Toute personne qui a une arme est a abattre par la police selon notre loi?
Curieux, il a laisse le combat car il n’etait pas paye et il ne voyait pas l’issue de leur combat. Y avait-il raison de combattre donc? Meme avant, on l’avait fait dire a la TV qu’il pouvait se faire de l’argent en donnant des info aux etrangers (ong, journalistes…). On veut le faire passer pour quelqu’un qui aime de l’argent facile.
A Iwacu, murarondera famille yabo bantu, mubabaze ivyabo. Sulement, il ne faudra pas publier le contenu pour les proteger.
Je ne suis pas juge. Mais cet Epitace Ingabire et ses hommes du SNR se contredisent facilement. Il avoue que dans le passe, il avait menti pour etre paye, qui peut croire que maintenant ce n’est plus le cas. Il ajoute qu’il n’est pas maltraite a la SNR. Pourtant, tous ceux qui ont passe par la (san y laisser leur vie) ont des preuves sur leurs corps. Meme ces deux journalistes etrangers ont pu voir des traces. Parce que cette fabrication ne trouve pas de clients (ca ne fonctionne pas meme chez les dd, au fait on rigole), j’ose esperer qu’on ne va pas tuer ces Epitace et Clovis bientot.
Nico gituma bivugwa ko kwiga bikenewe. Je serais curieux de connaitre le QI de ces pauvres heres.
Iyoba ari ibigugu, … ntibiba biba preocupa gushika hiyo. la vérité fini toujours par éclater
Pfuuu pitoyable!! Hier sur les réseaux sociaux les paris étaient lancés pour savoir si les fameux repentis feront partie du casting sur les « fameuses révélations de la mort de Welli ». Eh ben voilà la réponse. Epitace (ou la police) mérite l’Oscar du…plus mauvais film de l’année
Une police ridicule qui ne respecte personne; même les gens morts dans leurs mains. Amaraso y’inzirakarengane arahuma! Mutanguye kuzana abantu mwahemvye ngo nibo bishe abantu baguye mu minwe yanyu?
Nimutekereze ukuri kwose kuzomenyekana!
Unless the take a lie detectors test.an independent investigation is done .I won’t believe them for a second.
One said he got paid to make a false testimony.but now for some reason he has no reason to lie.a bunch of bs that is .
Un petit effort encore, et dites-nous qui a tué Col Bikomagu.
Qui de ces anciens combattants a tue le Gen. A. Nshimirimana, et le Col. Bikomagu?
Gardons soigneusement les identités de ces « malfrats marionnettes’ qui font leurs aveux en jubilant. Ni baba ari abarundi bamenye ko ‘umugabo akira ikinyoma abeshewe adakira ico yibesheye ». Umunsi uri izina barafise ico bazobwira intahe kitari ivyo uko kwasama.
Ridicule tout simplement.
ivyo bigugu vy´irementanya turabihaze UbU noneho ibintu birakomeye soyons sérieux
Hazoteba habe justice tubitwarire bishure ivyo bemeye imbere y`isi yose.