Le Sommet des Chefs d’Etat de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) intervient dans un cadre particulier où le Burundi vit une situation difficile sur le plan socio- économique.
Tout le monde avait tourné les yeux vers ce 18ème Sommet pour y attendre des « solutions- miracles » à la crise qui mine le pays. A l’issue de la rencontre, deux opinions semblent dominer les politiques. Bujumbura jubile de la position de l’EAC « qui a compris que le Burundi est victime d’une vaste campagne de fabrications et mensonges menée par ses détracteurs. »
L’opposition, quant à elle, se dit déçue et consternée. Elle déplore « l’incapacité des Chefs d’Etat de l’EAC d’imposer à Bujumbura le respect de l’Accord d’Arusha. »
Cependant, nos politiques devraient bien décrypter le message du dernier Sommet de l’EAC pour comprendre que la solution au mal burundais viendra des Burundais eux-mêmes. En effet, à la lecture du Communiqué qui a sanctionné les travaux du Sommet, il est évident qu’il s’est concentré sur des sujets d’intérêt régional. Le Burundi n’a été évoqué qu’en périphérie, à travers l’intervention du vice-président.
Par ailleurs, il a été fait allusion au Burundi lorsque le médiateur, le président Yoweri Museveni, ergotant sur l’EPA (Economic Partenership Agreement), a condamné les sanctions contre le Burundi décidées par l’Union Européenne. Enfin, dans ce communiqué, le Burundi est évoqué lors de la présentation du rapport du facilitateur dans le conflit burundo-burundais qui a été endossé par les Chefs d’Etat de la Région. Le Burundi ne semble plus être la préoccupation des Chefs d’Etat de la Région. Ils ont leurs propres priorités.
Apparemment, Bujumbura est très compris par la Région. Toutefois, il ne devrait pas dormir sur ses lauriers. Les sanctions de l’Union Européenne contre le Burundi relèvent du non-respect de l’Article 96 des Accords de Cotonou de la part de la partie burundaise. Elles n’ont rien à voir avec l’EPA qui devra exister entre l’EAC et l’UE, après sa signature. Par ailleurs, l’UE a déclaré à la fin du sommet que les sanctions seront maintenues tant que la situation au Burundi ne changera pas.
Question : dans les faits, que proposent les Chefs d’Etat de l’EAC pour soutenir le Burundi ? Quelqu‘un a parlé d’une hypocrisie de « solution » africaine. Pour Bujumbura, Museveni a bien parlé. Mais il y a les beaux discours et la réalité…
Les gens me demandent quel victoire nous avons eut ? En riant je les repond qu`on a niquee les tutsis, oui ont les a bien niquee, ils peuvent dire ce qu`ils veulent, nous les avons mis a leurs place
@dodo
Même lorsqu’on se permet d’écrire de gros mots, on doit essayer de respecter la grammaire.
@Bakari&Dodo
Quand Dodo fait l’apologie du crime,Bakari parle de gros mots et du sens de grammaire!
On savait qu’il y avait pas mal de graveleux chez nos dd maintenant on découvre qu’ils peuvent pousser leur cynisme jusqu’à la pathologie! A vous deux,je rappelle le célèbre dicton de Jésus: »Qui tue par l’épée périra par l’épée ».
@dodo
Et si tu commençais par te mettre à ta propre place? Il n’y a aucun hutu (à part toi-même), qui t’as mandaté pour parler à sa place! Si c’est ton opinion, c’est de tant mieux. Mais j’ai une simple question : Combien de tutsis toi, personnellement, as-tu « niqués » ou mis à leur place?
La mauvaise gouvernance,la cleptomanie instituée en mode de gouvernance n’a rien à faire avec les Hutus et Tutsi.
Nkurunziza a autant de sang hutu que Tutsi.
Pourquoi être si médiocre dans les justifications?
Peut on être fier d’avoir un Bokassa, Idi Amin?
Je suis un DD de la 1ère heure
Né à Tangara
@Rurihose
Vous avez encore des leçons d’histoire à apprendre. Arrêtez de comparer Nkurunziza à des Bokassa, Idi Amin Dada, … Il n’a rien à voir avec eux. Si vous voulez être objectif, ce qui s’est passé sous son reigne avec ce qui s’est passé sous Buyoya, Bagaza, Micombero, Ndayizeye,… en terme de démocratie, de nombre de morts, de discrimination basée sur l’ethnie et la région de naissance, etc.
Si vraiment vous connaissez l’histoire du Burundi depuis l’Indépendance, vous vous rendrez compte qu’il fait beaucoup mieux que ses prédecesseurs. Ce qui voudrait dire ces derniers sont pire que Bokassa, Idi Amin et consorts.
Sans rancune cher DD « de la première heure » né à Tangara!
Le problème burundais ne peut être résolu que par les burundais eux-mêmes – par les moyens parlementaires ou autres. Aujourd’hui le rapport de force est complètement penche e du côté DD et cela condamne à l’échec tout tentative de dialogue. A mon avis, c’est ce rapport de force qu’il faut altérer avant qu’il y ait un dialogue digne de ce nom nayo ibindi ni uguta umwanya.
Qu’est-ce qui est réel? Qu’est-ce qui ne l’est pas? Sans tenir compte de ce que peut être l’interprétation des Burundais et des non-Burundais de la situation actuelle du Burundi, nous devons regarder, sans aucunes lunettes partisanes de ce qui transparaît actuellement su Burundi.
– Il n’y a plus d’attentats quotidiens au Burundi ;
– Il n’y a plus d’attaques contre les quartiers, les positions de police, de l’armée, rurales ou municipales au Burundi ;
– Il n’y a plus de manifestations, aussi violentes soient-elles à Bujumbura ;
– Les attaques à la grenades sont devenues aussi rares que sporadiques contre les positions et les ménages, autant à l’intérieur qu’à la capitale du Burundi.
Alors, qu’est-ce que la réalité actuel au Burundi?
– Les gens ont aussi faim en 2017bautant qu’ils l’avaient en 1995 ou en 1988 ;
– Tout ce qui a changé est qu’il y plus de personnes qui veulent se partager le gâteau aujourd’hui qu’en 1988 ;
– Alors qu’est-ce qu’on a? Plus de personnes qui ont une plus petite part dans une époque où ils ont besoin d’une plus grande part… inflation, surpopulation, et évolution des prix des desnrées et autres produits exigent!
Mais… est-ce réellement dû au régime actuel ou à la faute de qui que ce soit?
N’essayez pas de mettre la faute sur qui que ce soit, ou d’excuser toute personne qui veut en profiter pour se faire un quelconque capital de sympathie, qu’il soit (le capital) politique ou économique.
La seule solution qui reste est de nous mettre ensemble, de trouver et d’appliquer des solutions bénéfiques à tout le monde, tout en restant vigilants pour écarter les personnes animées par de mauvaises intentions.
Dans le fond la réalité est laquelle? On est dans une situation où on tente d’avancer à travers des difficultés et des obstructions créées pour nous en empêcher. Dans tous les cas, on n’a qu’un seul choix : « Avancer… à travers toute barrière! »
Gacece Gacece ..pauvre Gacece, la paix ne se construit pas sur la haine,la terreur,l’oppression,les enlevements d’innocents. La culture du mensonge a un prix, bientot vous et tes valets serez payes..la poudre et le plomb toquent a ta porte!
@Minott
Venant de quelqu’un qui veut utiliser la poudre et le plomb pour éradiquer, la haine, la terreur, les enlèvements d’innocents et le mensonge, … je te trouve beaucoup plus haineuxnque ceux que tu accuses!
Et pour le « toc! toc! », entre le gagnant et le perdant, il n’y que la quantité et la détermination… de la poudre et du plomb. Vous n’êtes pas les seuls à savoir vous en servir!
« Ils vous attendent! »… de pied ferme!… sur le seuil de LA porte!
Burundi: Pourquoi Museveni a-t-il lié les sanctions de l’UE contre le Burundi à l’APE ?
Après le 18è sommet ordinaire des chefs d’états de l’EAC, un communiqué a été publié et le Burundi a été trop parlé. Pourtant, le rapport du facilitateur William Benjamin Mkapa remis aux chefs d’états de l’EAC lors ce sommet n’a pas été pris en compte, ils l’ont plutôt ignoré et ont fait leurs conclusions à partir d’autres priorités. D’autres sujets leur étaient prioritaires tel que l’accord de partenariat économique (APE) .
« Le Burundi est membre de la CAE. Comment peuvent-ils signer l’APE avec l’UE lorsqu’ils sont encore soumis à des sanctions? « , a-t-il déclaré Museveni sur le fait que l’Union européenne devrait négocier l’accord commercial avec EAC et pas un seul État membre. Mais, en réalité, le cas du Burundi n’a pas été très prioritaire, les chefs d’états se sont plutôt concentrés sur des sujets d’intérêt régional, et le cas du Burundi n’a été que secondaire.
Sur le sujet de l’APE, il devrait y avoir différents positionnements des uns et autres et les sanctions de l’UE contre le Burundi n’ont été que du prétexte. En effet, bien que les négociations entre l’EAC et l’UE sur cet APE aient été officiellement conclues en octobre 2014, dans le but que tous les signataires s’engagent avant juillet 2016, seuls deux membres de la CAE se sont engagés jusqu’à présent. Il s’agit du Kenya et le Rwanda qui ont tous les deux signé cet accord en septembre 2016.
Un tel retard ou refus à signer cet accord avantage tous les membres de l’EAC en tant que pays les moins avancés (PMA), autres que le Kenya, qui est un pays à revenu intermédiaire (PRI), du fait que ces PMA bénéficient d’un accès gratuit à l’UE sur toutes les transactions sauf sur les armes, indépendamment de la signature de l’APE. À ce propos, Museveni a prévenu l’UE contre la punition du Kenya. »Nous nous opposons à tout déménagement de l’UE pour nuire au Kenya en ce qui concerne les problèmes EU-EAC (APE). Ce que nous voulons dire, c’est que le Kenya ne devrait pas être désavantagé puisque le pays a déjà signé l’accord « , a-t-il déclaré. Reste à savoir si l’UE acceptera cette mise en garde. Dans leur communiqué, les chefs d’états de l’EAC ont également déclaré que « les membres restants qui n’ont pas signé l’APC ne sont pas en mesure de le faire en attendant des éclaircissements sur les problèmes qu’ils ont identifiés dans l’accord. » C’est totalement incohérent et absurde.
À vrai dire, ces pays de l’EAC ont constaté que cet APE n’est pas bénéfique pour leurs pays, mais ils ont manqué d’arguments convaincants face à la pression de l’UE, principal partenaire de cette communauté. En effet, une étude sur l’EAC réalisée par la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique a montré qu’avec la mise en application de l’APE, le développement dans les pays de l’EAC se réduirait avec des pertes énormes au Kenya (45 millions de dollars) alors que l’UE enregistrerait un gain de 212 millions de dollars. Actuellement, l’UE est la plus grande destination d’exportation de l’Afrique de l’Est, mais en termes d’importations, l’UE se classe troisième après la Chine et l’Inde. Et pour rendre les discussions difficiles voir même impossibles, ils ont déclaré que « les sanctions de l’UE contre le Burundi devraient être discutées dans le cadre des pourparlers avec l’UE ».
Même si c’est légitime qu’ils refusent de signer cet accord, ils ne devraient pas associer leur refus avec les sanctions prise par l’EU contre le Burundi. Ces dernières n’ont rien à voir avec cet APE étant donné que le Burundi a été sanctionné après avoir violé l’Article 96 des Accords de Cotonou. Heureusement, l’UE a refusé de lever ces sanctions contre le Burundi en affirmant que « les sanctions seront maintenues jusqu’à ce que la situation politique au Burundi change. » Une bonne nouvelle !
Autres causes de désaccords entre membres de l’EAC seraient la lutte de puissance économique dans la région qui oppose la Tanzanie et le Kenya, actuelle puissance économique régionale et qui a déjà signé l’EPA et l’histoire de corruption entre Nkurunziza et Museveni dans le remboursement de la dette de l’Ouganda par les Cahiers Picfare qui valaient des millions de dollars. Sans oublier le choix de l’Ouganda de faire transiter sa future production de pétrole brut par un oléoduc (pipeline) traversant la Tanzanie, écartant ainsi un projet concurrent porté par le Kenya. Avec le Rwanda (signataire aussi de l’EPA) en conflit avec le Burundi et Salva Kiir du Sud Soudan dont Museveni est l’allié incontournable dans la guerre qui gangrène son pays, on se retrouve devant deux blocs antagonistes sur différents sujets : Kenya et le Rwanda, d’une part, et Tanzanie-Ouganda-Sud Soudan et Burundi, d’autre part.
Tout cela nuit à la crédibilité et l’impartialité de la région dans la médiation de la crise burundaise. Le mieux serait de chercher une autre organisation impartiale et compétente qui s’occupe de la médiation. Par exemple, l’ONU. Toutefois, la région reste importante dans tous les cas d’où la nécessité de s’allier à toutes les démocrates de la région pour demander à leurs chefs d’états de s’impliquer pour la recherche d’une solution pacifique, sinon le pire est à craindre. Une guerre civile serait inévitable et avec des dégâts humains et matériels.
Néanmoins, même en cas d’un sauveteur du peuple burundais venu « d’ailleurs », on aura toujours un problème de manque de leadership de ceux qui s’opposent au régime sanguinaire de Bujumbura. Malgré cela, je suis convaincu que la solution au mal burundais ne viendra que de nous-mêmes, burundais, même s’il nous manque de cohésion entre les forces vives politiques, armées et civiles de l’opposition. « Uwuja gukira ingwara arayirata », dit-on en Kirundi. Des divisions internes se succèdent du jour le jour et cela donne raison à ceux qui pensent que le régime de Bujumbura n’est pas du tout fort mais qu’il se ressource en force dans la faiblesse de ses opposants.
Heureusement, cette tendance n’est pas statique, car il viendra un jour (espérons bientôt) où ceux qui empêchent les choses d’aller de mieux en mieux verront que leurs « égos » et conflits personnels ne valent plus rien que l’intérêt général de la nation. Et c’est là que le soutien de « tous les partisans de la démocratie au niveau régional » et même international aura de bon résultat attendu. Car, la crise burundaise a peu de solutions et l’une d’elle sera efficace et je suis très optimiste à sujet. Ça tarde mais ça arrivera !
Pour Bujumbura et ses alliés, Museveni (au nom de la région) a bien parlé. Mais, qui sait que derrière ces « beaux discours » ne se cache pas une autre réalité derrière ? Pour le moment, il a mis en avant ses intérêts, ce qui est normal ; mais, le temps peut nous surprendre. Et en attendant ces surprises qui pourront ne même pas arriver, il faut que nous sachions que c’est à nous, burundais, de solutionner notre problème. « Akimuhana kaza imvura ihise », dit le proverbe Kirundi.
M7 est un vieux dictateur qui s’est proclamé président à vie.
Sa femme est ministre, son fils est le chef de la terrible garde présidentielle.
De telles personnalités ne défendent pas forcément l’intérêt de leur pays.
Suivez mon doigt: le degré de corruption de l uganda
Je suis de ceux pour qui la déclaration du Président Museveni n’a pas étonné dans la mesure où la solution aux problèmes burundais viendra des burundais eux-mêmes et non des étrangers.Ak’imuhana kaza imvura ihise. Le traité d’Arusha,en est l’exemple absolu de par son imperfection et non implication de toutes les composantes sociales de la population.Il faut admettre que le dit traité ,a certes contribué au retour d’une paix précaire mais aussi à la protection certains leaders politiques coupables de crimes graves voulant toujours revenir au pouvoir qui ne voient pas que c’est la fin d’un cycle avec la mort certaine et inévitable du traité des putschistes et des génocidaires qui se pointe à l’horizon.Ça c’est la réalité. Du reste, Le médiateur saura t-il joindre la parole aux actes?Quid de son silence sur les sanctions de l’UE depuis 2015?Ceux qui se sont réjouis peuvent vite déchanter en cas de retournement de situation.Le parti pris du facilitateur et du médiateur aura peut être le mérite de réveiller l’esprit et la fibre patriotiques en berne à l’endroit de la population assoiffée de cohésion sociale et développement.En attendant,les beaux discours dans un camp comme dans un autre n’allègent pas les souffrances réelles de la population qui n’est pas dupe.
Nous vivons dans les illusions depuis quelques années ! L’assiduité dans les lieux de prières montrent bien que
vyose twabihereje Imana kuko vyaturenze kuvyikorera ! Mais Imana ifasha uwifashije. Le meilleur est celui qui arrive à endormir les gens pour agir comme bon lui semble. Amen.
Museveni est aussi dans le viseur de l’Union Européenne. Normal qu’il l’attaque quand l’opportunité se présente. Mais ce n’est pas l’amour qu’il a pour Bujumbura qu’il a fait de telles déclarations.
Museveni a son propre agenda son petrole est presque au stade d exploitation il a besoin de la Tanzanie pour y faire passer son pipeline ;il faut donc pas se fache content magufuli. Il se sert donc du Burundi pour gagner du temps . ..of course les DD y trouvent leurs compte mais pour combien de temps. L’UE demeure sur sa position. Entre temps, la situation va s’enliser jusqu a faire caput ,le Burundi n a pas besoin d un embargo externe, il ‘s en est deja impose tout seul il le vit chaque jour . Une bonne nouvelle neanmoins sort du lot, l opposition sait desormais qu il faut pas compter sur la region et sait que l union de toutes les composantes faira la force contre bujumbura.
Méfiez-vous de nos responsables au sommet des États. La Libye n’est-elle pas décharnée alors que chacun d’eux savoure sa Champagne dans un coin de son palais? Le Guide libyen n’a-il pas été tué alors que tous ceux qui bénéficiaient des largesses de la la nation libyenne observaient les scènes macabres sans rien dire? Qu’est-il devenu Laurent Bagbo de Côte d’Ivoire ou encore Mobutu du Zaïre alors qu’ils étaient des Présidents en exercice?
Tout simplement il y a une chose qu’ils ne veulent se dire! Que chacun est arrivé seul au pouvoir par un moyen ou un autre, propre ou emprunté, et que un jour il devra partir seul. Chacun de cette assemblée ne bénéficie de respect que car il peu encore tenir sur ses « propres terres », pauvres soient-elles. Le reste n’est que spectacle pour ceux tiennent encore…
Economic Partenership Agreement.
Prière rectifier l’écriture: Economic Partnership Agreement.
Merci
Le médiateur Museveni , président a vie , arrivé au pouvoir par un coup de force, règne sur l Ouganda par la peur. Le Mkapa , retraité de la politique Tanzaniene , qui a trouvé un poste pour se renflouer. Tout simplement la solution négociée n est pas à envisager. Museveni peut donner des ordres à l UE? J en doute fort mais j aurai aimé. A qui profitera cet embrasement de la sous région ?
Ce que vous oubliez de mentionner est que l`EPA ne prend effet que lorsque tout les membres de l`EAC auront imposees leurs signatures. Et la Tanzanie qui est un pays important de l`EAC apres le Kenya a refusee de signer, donc en quelques sortent , l`EPA ne peut prendre effet. Museveni ne peut que prendre l`avis de Magufuli parce qu`il ne faut pas oublier qu`il a fait ces etudes en Tanzanie, les tanzaniens sont ces mentors qui l`ont eduquees et raison de plus pour lui de faire passer le pipeline vers la Tanzanie. Une chose qui est sure est qu`il n`y aura jamais d`antagonisme au sein de l`EAC comme certains le voulaient. Le kenya et la Tanzanie sont en quelques sortent les deux pays qui font l`EAC et ces deux pays sont dirrigees par des bantous. Quelques soient lamda ils vont toujours soutenir un frere bantous comme Pierre Nkurunziza. Certains me diront que je suis tribaliste mais c`est la veritee la guerre des tribus une realitee en afrique, ce qui est rassurant est que l`UE a deja payer les millitaires burundais en somalie, ils commencent a comprendre que la diplomatie burundaise bien que silencieuse est efficace. Tous les sommets organisees contre le Burundi ont tournees a l`avantage du gouvernement parce que derriere ces reussites, se cachent des strateges qui n`ont pas besoin d`exposer leurs techniques aux yeux de tous, en pratique ca marche!!!!!!!!
La guerre contre le Burundi entre pays de l`EAC est un echec parce que les bantous seront solidaires, nous savons ce qui se trament derriere ces soit disant 3e mandat, raison pour laquelle meme le Rwanda en voulant flater le Kenya et la Tanzanie en adoptant le swahili n`a rien fait!!! La realitee que tu dit ce que les bantous doivent garder le controle de la region, c`est ca le plus important, avoir le controle des territoires conquis durant l`expansion bantous.L`ouganda et le rwanda ne sont des pays qui ont ete volee par les blancs , la geopolitique voudrait diviser pour mieux regner mais nous restons concentrer sur l`essentiel, garder nos peuples prosperes et garder le pouvoir
@dodo
Au commencement,toute la région de l’EAC propice aux pâturages plus qu’ailleurs dans le monde,se trouvant exactement au centre du monde et de surcroît véritable jardin d’Eden, était occupé par les seuls peuples éleveurs de vaches avant l’invasion des bantous fuyant la chicote arabe en Egypte et tout le sahel.Nul n’ignore que les célèbres et puissants pharaons étaient des bantous noirs qui vénéraient le soleil Râ leur Dieu vivant. Râ doit sûrement rappeler à certains la république du soleil qui a failli voir le jour dans le passé ici au Burundi et dont le symbole figure encore sur la plupart des maisons aujourd’hui?Que dire encore de certains musiciens bantous qui crient ce dieu à tout bout de champ dans leurs chansons avec beaucoup de mysticisme?Avec l’arrivée des arabes dans le Maghreb qui exploitaient les noirs comme esclaves,les bantous ont fui tout azimuts pour occuper tout le reste de l’Afrique oubliant de facto de rechercher leur véritable origine nord africaine.Il sied de rappeler que les bantous sont les seuls peuples, je dis bien au monde,à avoir connu l’esclavage.
Depuis lors bénéficiant de l’hospitalité légendaire de l’occupant,les bantous, certes majoritaires, revendiquent désormais,sur faux enseignements de l’église, la paternité et la propriété de toute la région sans vergogne et le véritable occupant considéré comme envahisseur.
Les bantous peuvent être solidaires entre eux mais ne connaîtront jamais la GLOIRE qu’ils ont abandonné chez eux au pays des pyramides,œuvres essentiellement bantoues. La nature reprendra tôt ou tard ses droits pour dire que ce n’est pas la force du nombre qui est importante mais la justice divine qui donne et qui reprend.N’empêche:’on ne peut pas savoir où on va si on ne sait pas d’où l’on vient’ au risque de voir la malédiction se perpétuer.
C’est quoi cette histoire bidon ?? Je veu bien, Les pharaons étaient noirs. Mais dire que les bantous sont les ppremiers esclaves, c’est faux ! Premiers esclaves étaient des Juifs et chez les Pharaons. Votre analyse ne colle pas.
Dexta,
Les pyramides ont été construites par des hommes libres, pauvres, désœuvrés pendant les crues du Nil, avec amour et dévotion à la gloire de Dieu Râ bien avant l’invasion étrangère.Les kémites çàd les noirs n’ont jamais pratiqué l’esclavage au contraire ils l’ont subi après l’invasion des arabes et des grecques et les preuves se trouvent dans les musées en Egypte. Le récit biblique selon lequel les hébreux ou juifs auraient été en captivité et rendus esclaves en Égypte n’a aucun fondement historique ; ni archéologique, ni anthropologique.C’est un mythe.D’ailleurs,il n y a aucune trace murale des inscriptions juives dans les pyramides mais au contraire celles des kémites. Ensuite les juifs c’est une invention récente,des preuves pullulent sur la toile.Pour terminer,l’esclavage n’est pas une invention ou spécialité noire mais arabe et blanche. Heureusement pour nous,Que le tout puissant nous garde de cette horreur!Le pays où l’esclavage sévit encore est la Mauritanie où les maures noirs sont à ce jour sous la coupe des maures blancs arabes.Il est temps que les noirs sortent de l’esclavage spirituel qui est la cause principale du sous développement.Le développement de l’Afrique commencera inévitablement par le rétablissement de la vérité et de sa propre histoire.Mais tout est fait pour brouiller les pistes.Demandez vous pourquoi et qui a intérêt à ce quel’Afrique ne se développe pas.
Dodo…qu’est – ce qui marche au Burundi? Un pays « prospère » avez-vous dit? Le dernier au monde actuellement…Jusqu’où voulez – vs qu’il descende pr vs en rendre compte?
@Raphaella
De quoi tu parles, le Burundi dernier au monde actuellement quant est-ce qu’il a été le premier?
Il faut savoir que si on a la pluie et le soleil on a de quoi manger et on a notre cabane c’est ça le plus important le reste vient après, sachez que même en Occident tout n’est pas rose.
Alors donnez nous la paix on s’occupe de nos problèmes. Merci!!!!
Béata,
Les belles promesses ne suffisent plus pour gagner la popularité.La réalité est que la majorité des gens ont faim. Pas besoin de le démontrer,la distribution des aides de riz en est la preuve indéniable. Il n y aura jamais la paix tant que ce défi ne sera pas relevé.Hakora munda.
@ Mr dodo vient encore une fois de lancer « des propos gogo »
@Mafero
Dodo lance des propos « gogos » et Jambo lance des propos « gagas ». Des propos fantasmatiques qui me rappellent ceux d’un certain prince autoproclamé.
Bakari,
»Le poison culturel savamment inoculé dès la plus tendre enfance, est devenu partie intégrante de notre substance et se manifeste dans tous nos jugements ».Cheikh Anta Diop
Malcom X a dit : »Vous devez faire très attention en présentant la vérité à l’homme noir qui n’a jamais entendu avant la vérité à son sujet .Le frère noir a le cerveau tellement lavé qu’il pourrait rejeter la vérité quand il l’entend la première fois.Vous devez en parler un peu à chaque fois et attendre,le temps que ça soit digéré, avant de passer à l’étape d’après »
Jean Marie Adiaffi a dit : »Celui qui veut assassiner son peuple détruira son âme,profanera ses croyances,ses religions,niera sa culture et son histoire »,
alors Monsieur Bakari,ne sois pas l’assistant de ta propre mort et celle de tes frères en donnant des jugements inutiles par manque d’argumentations et de connaissances.Cordialement.
@Jambo
Dites-moi si vous êtes effectivement le prince autoproclamé. Si c’est le cas je pourrais vous dire que vous êtes bourré de connaissances à coup sûr, et plein de mégalomanie certainement.
Bakari,
Je ne suis pas un prince autoproclamé,c’est vous qui le dites.Si ma vérité vous agace,ayez l’amabilité de prouver votre point de vue sur le sujet en démontrant l’inexactitude de mes propos sans tomber dans le piège de l’irritation et du jugement.Qui êtes vous pour juger?