« Nous sommes incapables de contrôler toutes les entreprises travaillant au Burundi en raison du budget limité», a déclaré Léonard Sentore, directeur de l’Agence de promotion des investissements (API). C’était ce jeudi 5 avril, lors de la présentation des réalisations de cet organe au cours du premier trimestre.
Selon lui, plus de 2.000 entreprises sont créées chaque année mais faute de moyens suffisant, il est impossible pour son agence de contrôler toutes les entreprises.
D’après lui, l’Api se concentre sur les «grandes» entreprises du secteur stratégique. «La plupart des petites startup risquent de faire faillite ou de changer de domaine», explique-t-il. Et de renchérir : «Certaines d’entre elles s’effondrent en peu de temps. D’autres passent d’un secteur à un autre sans l’accord de son agence.
Pour M. Sentore, l’Agence a fait un grand pas en avant en enregistrant un grand nombre d’entreprises par rapport aux années précédentes. «L’Agence a enregistré 680 entreprises susceptibles d’embaucher 4.912 salariés. Cela montre une amélioration de 10% par rapport aux années précédentes».
En Français on dit “laisse à désirer” et non “reste à désirer”. Ariko nta kibazo igifaransa si ic’iwacu, iyo uba wagize ikosa nk’iryo mu Kirundi niho vyari kuba biteye isoni.