Tel est l’appel lancé par le Secrétaire général de l’ONU à l’occasion de la célébration ce mercredi 3 mai de la Journée mondiale de la liberté de la presse.
Selon lui, les journalistes se rendent dans les endroits les plus dangereux pour prêter leur voix à ceux qui n’en ont pas. «Les professionnels des médias sont confrontés à la diffamation, aux agressions sexuelles, aux emprisonnements, aux coups et blessures et même à la mort», reconnaît Antonio Guterres.
Et de formuler en cette journée un vœu : «Nous avons besoin de personnalités fortes pour défendre la liberté des médias. C’est là une exigence primordiale pour faire barrage à la désinformation ambiante» Et il faut pour cela que «chacun d’entre nous doit se battre pour défendre le droit à la vérité».
En cette Journée mondiale de la liberté de la presse, indique-t-il, je lance un appel pour que cessent toutes les formes de répression à l’encontre des journalistes – parce qu’une presse libre fait progresser la paix et la justice pour tous.
«Protégeons les journalistes, car leurs mots et leurs images peuvent changer le monde», demande le Secrétaire général de l’ONU.
Le pouvoir de Bujumbura ne veut entendre personne ! Leur seul reve ; c’est regner , regner, regner et regner en massacrant tous ceux qui ne pensent pas comme eux, jusqu’a la fin des temps.-
|[Ndlr:Et il faut pour cela que «chacun d’entre nous doit se battre pour défendre le droit à la vérité».]. Le droit de la vérité et uniquement la vérité! Malheureusement, nombreux médias, ils ne rapportent plus la vérité car dans leur information, il ne parlent qu’au conditionne: « Il serait », « Il aurait ». Quelle vérité parle-t-on au conditionnel? Quand ils améliorent l’information, c’est le subjonctif qui est remplace le conditionnel: « Il faut que ».
Quelle vérité, s’agit-il quand on parle avec des doutes? Et, quelle information s’agit-il quand on donne des ordres! Le journaliste est là pour informer l’opinion ce qui est ou qui a été et non pour créer le doute ou donner des ordres à qui qu’il soit! Fin de citation!
Admirons plutôt cette réplique de Thomas Jefferson, ancien président des USA, et c’était tout au début du 19ème siècle ! « Were it left to me to decide whether we should have a government without newspapers, or newspapers without a government, I should not hesitate a moment to prefer the latter. » (Tiré du Journal sud-africain Daily Maverick du 3 mai 2017).
Espérons que les répubiques bananières vous ont entendu!
Une voix qui crie dans le désert.