Lundi 23 décembre 2024

Politique

Alexis Sinduhije, après l’incident de Buganda : « Résistez, résistez, résistez ! »

L’appel a été lancé par Alexis Sinduhije à ses militants après avoir été empêché à Buganda, de continuer son trajet vers la commune Mugina de la province Cibitoke.

La voiture d'Alexis Sinduhije, en arrêt à Buganda ©Iwacu
La voiture d’Alexis Sinduhije, en arrêt à Buganda ©Iwacu

« Je demande aux membres du MSD de se mobiliser davantage pour être plus nombreux à exiger leur dignité. Je pense qu’il temps que le peuple burundais se lève comme un seul homme pour exiger sa dignité. Et la dignité ce n’est autre que la justice et la liberté », déclare le président du Mouvement pour la solidarité et le développement (MSD), Alexis Sinduhije.

Pour lui, il y a une volonté du gouvernement de l’empêcher d’aller sur le terrain. Ce qui est affirmé par le ministre de l’Intérieur : « S’il ne change pas de langage, nous allons toujours l’empêcher de circuler dans le pays. » Edouard Nduwimana, contacté par téléphone précise que le gouvernement ne peut pas accepter que des prédicateurs de la loi du talion circulent dans le pays : « Il y a un langage approprié pour un politicien. »

Face à cela, Alexis Sinduhije, envisage prochainement ne plus informer le pouvoir de ses circulations. Il signale que si des sanctions existent, il accepte d’être puni. Mais, croit-il, il n’y a pas d’infractions en visitant des amis, des membres d’une famille, des malades,….

« L’Etat de plus en plus irresponsable »

Face aux agressions aux journalistes ce vendredi à Buganda, province Cibitoke, Innocent Muhozi, directeur de la radiotélévision Renaissance indique que c’est une démonstration que l’Etat devient de plus en plus irresponsable. Il signale que c’est la troisième fois que des journalistes en train de faire leur travail, sont agressés : « Ce n’est pas possible qu’on laisse notre jeunesse se transformer en voyous sans que l’autorité se dresse contre cela. »
Les responsable ? Certains policiers et jeunes Imbonerakure. Et d’ajouter : « Nous avons vécu cela par le passé. Ces jeunes finissent par devenir des chiens enragés que plus personne ne peut contrôler. Il est plus urgent que le ministre de l’Intérieur comprenne qu’il est pleinement responsable de ces comportements inadmissibles et qu’il y mette fin. »

Pierre Nkurukiye, le porte-parole adjoint de la police nationale burundaise (PNB) signale que la police ne peut pas expliquer pourquoi elle a reçu l’ordre d’empêcher Alexis Sinduhije de continuer son chemin : « Nous ne faisons qu’appliquer la décision. C’est à l’administration de donner les raisons. » Et de préciser que les organes chargés de la sécurité sont connus : la police, l’armée et le service national de renseignements (SNR). Seulement, souligne-t-il, la population peut donner des informations. Et si des jeunes affiliés aux partis politiques commettent des infractions, « ils y répondent individuellement. »

Forum des lecteurs d'Iwacu

24 réactions
  1. Terimbereburundi

    Il est plus que temps que cette jeunesse « imbonerakure » et autres jeunes comprennent ceci:
    1. Ce n’est pas en courant jour et nuit derrière les hommes « politiques » qu’ils seront sortis de la pauvreté qui les tétanisent;
    2. Le Ministre Nduwimana essaie de protéger son poste et n’a aucun souci des problèmes de la jeunesse burundaise
    3. Je m’étonne que ces jeunes imbonerakure ne réclament pas le travail, la sécurité sociale, et autres avantages que leurs dirigeants ont le droit de leur donner.
    4. J’appelle les jeunes surtout « imbonerakure » instruits, de sensibiliser leurs frères pour plus de bonne conduite, plus de discipline, plus de civilité.
    5. J’appelle ce gouvernement « incapable d’innover », et de pousser au dévéloppement du pays, se songer toujours à cette devise de l’illustre disparu Mirerekano Paul « le pain et la paix ». C’est cette devise qui a développé la région de Bugarama. J’avoue que ces jeunes de Bugarama ne seront jamais « imbonerakure puisqu’ils ont suffisamment à faire (produire des légumes)
    5. Je conseille vivement au gouvernement de tout mettre en oeuvre pour acquérir des machines agricoles, de rendre toute la plaine de l’imbo disponible à l’agriculture afin de donner du travail à ces ingénieurs agricoles, à ces jeunes délinquants de la ville de Bujumbura afin d’accroitre la production agricole, à ces imbonerakure des houes et des machines pour développer leur pays;
    6. J’interpelle le gouvernement à prendre au sérieux le phénomène des enfants de la rue, devenus des adultes de la rue. Le parlement doit sérieusement se pencher à ce problème. Demain il sera trop tard.
    7. J’interpelle le gouvernement à mettre fin au désordre constaté dans tous les secteurs de la vie des burundais. La saleté devenue un mode de vie à Bujumbura, sur les places publiques, nous n’avons plus peur à exposer notre saleté sur toutes les places publiques. Le désordre dans les rues, la mauvaise circulation des voitures, piétons, cyclistes, motos, je me demande où se trouve le gouvernement devant tant de désordres. A défaut d’innover, qu’au moins le gouvernement copie ce que fait le Rwanda à côté en matière d’organisation de la vie publique et de l’application stricte des lois de la République.

    8. Ugira aho uba wubahwe. Le Burundi ne sera jamais un pays sûr, prospère, organisé, sans un président et un gouvernement responsables, sérieux et travailleur

    VIVE LE BURUNDI MON PAYS, UBUMWE, IBIKORWA, AMAJAMBERE

  2. BAYAGA Evrine

    Ariko mana yanje ubu butegetsi bugiye kuvaho buyovye aha bafata batora ibi canke biriya uyu mutama agomba kwitabarira abanyagihugu bigorewe bamurondera ko ibiki emwe nibabandanya bamwigenzako tuzomusaba aduhe uruhusha tuje mwibarabara twiyamirize akarenganyo kaba dd nyibishoboka ko abarundi ducika akabarore gutya.

  3. kaburundi

    Dutwagwa n’abanyeshamba none tugire iki ? à Rome, il faut faire comme les Romains. K’uwubishoboye, ishisho ku rindi, ingumu ku yindi, ibisigaye Imana izotabara igihe cayo kigeze :

  4. Gerard

    Un bon leader doit avoir un esprit de Non-violence:

    « La violence ne génère rien d’autre que la violence. Elle ne résout rien, seule la non-violence peut anéantir la violence. » Martin Luther King

    Chers leaders,

    – Un bon dirigeant doit prendre le temps de réfléchir avant d’agir.

    – Un bon patron doit appeler un chat un chat: on ne peut crever l’abcès qu’en l’identifiant. Il faut donc affronter les problèmes en face, avec courage. Affronter les problèmes en face ne signifient pas proférer des mots d’insultes, de terreur.

    -Les chefs savent discerner les pièges éventuels et les éviter: les gens peuvent vous tendre un piège même dans les provocations et vous attrapent dans vos réactions irréfléchies.

    -Les bons leaders s’assurent que les standards sont fermement établis et les règles fidèlement observés: Les leaders veulent que les autres soient pleinement épanouis et exploitent toutes leurs capacités dans tous les domaines de la vie.

    -Un bon leader est comme un berger qui ne s’en fuit pas quand le loup dévore ses moutons: Si le berger s’en fuit le loup se régale en détruisant tous les moutons. Un bon berger donne peut même exposer sa vie à la mort pour sauver ses brebis.

    Certains de nos leaders prennent le large lorsque les choses tournent mal. Ils attisent le feu et s’envolent dans les airs en laissant l’homme ordinaire consumé par le feu.

  5. "akamaramagambo, mukunda"

    Ariko rero twari dukwiye kuvyumva kumwe. Hari umuntu yakunda kugereranya Démocratie nko mugihe co « muci »: Kera, iyo hageze umci, abatunze « impene » , barazireka zikiyangarira kumitumba no mumyonga hose. Ariko rero kugira ngo abadashaka ugwanko ntizibateranye, na cane cane mukuja kona imirima y’ibijumbu, imyumbati, ibitoke,… canke ibiharage vyo mu mwonga, bararondera umwungere canke bakagura ibiziriko bakazizirika. kuko hari izatembera kurusha izindi, hamwe wibaza ko zidashaka kurya (kurisha). Izo rero zaba ziyatse agahengwe ko muci. Abo banyapolitike bacu naco barakwiye kuhagabira. Bategerezwa kumenya ingene intwaro zikora , hanyuma bakigenza nka benegihugu. Ego barafise akarusho kubera ka mukuru w’umugambwe, ariko ahonyene abayikwegeye kuko ntasubira kwidegemvya kumwe yahora. Kubera ko atakiri umunyaguhugu asanzwe rero , Leta itegerezwa tumukingira umwanya wose. Iyo rero aciye aja nagwo ngo kabaye mbaye bwegu buno nyene, abajejwe kumucungera nibo baca bamuhinduka bakamukandamiza , kugirango ntihagire ivyo yonona. Na cane cane kwigisha umugararizo ( désobéissance civile). Aho ni nko kumubwira bati : sigaho sigaho! Erega ntimubirabire kure turacari muri Afrika. Jewe ndipfuza ko Sinduhije yoronka au moins na mairie tukaraba ico ayikoza. Uwutaraburogwa agirango yobucira! Ahonyene yarishizemwo ngo ashaka gutwara ikigihugu. Haha! Birame ntangare!

  6. Shaza

    Les leaders des partis politiques de l’opposition appellent leurs militants à la résistance, et après qui meurt? qui enterre? et aux frais de qui?…
    Combien de fois en attend parler des leaders politiques burundais qui prennent le large ou s’exilent lorsqu’ils ne se sente pas en sécurité ? Et vous exhortez de simples partisans à la résistance?… Je pense qu’il y a d’autres stratégies plus efficaces à essayer au lieu d’inciter des gens de bonne volonté à un acte que je qualifierai de suicidaire…

  7. évode

    Un mot à ceux qui condamnent le discours de Sinduhije sur la loi du talion. Je crois qu’il faut le comprendre dans son contexte métaphorique. Dans une société où la loi n’est pas égale pour tous, il n’y a tout simplement pas de justice, mais l’injustice. Puisque la justice ou elle est pour tous ou elle n’en est pas une. La loi du talion, appliquée au contexte burundais ou dans toute autre société moderne (non ébraique d’antan) signifie que là il n’y a plus de loi ni de justice, il n’ya que de l’anarchie, quand chaque personne fait ce que bon lui semble, puisque le pouvoir qui devrait s’en charger est absent ou ne s’y applique pas équitablement. C’est le cas aujourd’hui au Burundi, où la loi n’est pas la mème pour tout le monde, où certains s’arrogent le droit de la bafouer sans s’inquiéter sur les sanctions que celle-ci profère, comme s’il n’y avait pas de pouvoir. Que doit faire le citoyen lamda? Il doit compter sur lui-mème puisqu’il n’y a plus personne pour le défendre des exactions des autres. La loi du talion dans ce cas (dans le discours de Sinduhije) signifie faire un « sauve qui peut » comme un déterrant lancé à l’autre citoyen pour le laisser en paix (vu que le pouvoir ne le protège pas). Et d’ailleurs, on est citoyen contre citoyen. C’est la caos, j’en conviens, mais c’est à l’administration et aux forces de l’ordre de rétablir l’ordre, donc de rendre justice à tous ses citoyens. Si non, je vois mal comment un pouvoir devrait punir celui qui se défend et l’agresseur. C’est Clair pour tout le monde: les imbonerakure transgressent la loi sans ètre inquiétés et le pouvoir n’agit pas. L’opposition a mainte fois demandé l’arrèt de l’agression, en vain. Au contraire, on remarque que l’administration et la police sont complices. Que faire? La loi du talion de Sinduhije veut mettre à nu l’absence du pouvoir, et quand le pouvoir est absent, on fait ce qu’on veut (désordre biensùr). Cette provocation est une manière d’interpeler le pouvoir en place de prendre ses responsabilités. Ne l’entendez donc pas au sens littéral mais figuré: c’est une autre manière de parler en politique.

  8. B.O.B

    Au gouvernement du Burundi,nimwaba mutari inquiete par alexis ni kubera iki mumubuza gukorana nabagenzi biwe ou abanywanyi biwe?ko mwari mufise la chance aho mwaronka ubutegetsi ni igiki cababujije gukorana n’abandi mu kunagura igihugu?None mugomba amaraso aseseke vyukuri?65,69,72,88,93 amaraso yasheshwe ntakwiye?Muribagiye ko dictature nkiyi ko yica ibigihugu?Egypte,Syria,Somalia ntaco bibabwiye?
    Alexis,gerageza urabe language ukoresha ibe professionnnelle ntugire ingere ku yindi abanyagihugu barabibona uribuka ghandi na martin luther king uko babigenjeje urabe si mudashobora kugira nka kurya ingere ku yindi ihitana abanyagihugu batobato…

  9. Ijisho kurindi

    None mwashaka Nduwimana avuge ngw’iki?
    Imbonerakure irashobora kumukubita amakofi kandi menshi imbere y’abantu kandi ntanakimwe yosubiza. Icakora yotaha muhira bugaca akabandanya akazi.Pour dire yuko nawe nyene ntazi ibiba iburundi.Sauf ko bamuhenda ngo ni ministre agaca yitabira.Ntabushobozi nabukeyi afise kubera nta maquis yagiyemwo,ni imperekeza gusa.

  10. Barekebavuge

    Ne vous trompez plus monsieur MUHOZI sur les responsabilités. Les policiers exécutent les ordres reçus pour gagner leur sérum mensuel et faire vivre les leurs. Et en plus, Ce n’est pas du tout Nduwimana édouard qui gère les imbonerakure. ces derniers peuvent même le gifler sans être inquiétés, puisqu’ils le traitent comme un intrus venus profiter de leurs efforts du maquis. Soyez sûr qu’il ne peut pas vous le dire, mais c’est cela la réalité qu’il vit au quotidien. Bien sûr ventriotisme oblige. Je les connais assez , ils ne rendent compte qu’à Nkurunziza et Adolphe. Lui, votre minsitre Nduwimana, il n’est qu’une caisse de résonnance d’un centre de décision qui est caché mais connu. Et si vous voulez guérir une maladie, je vous demanderais de chercher à en identifier d’abord l’agent causal et non les symptômes. Vous avez désormais la vraie piste, n’allez plus à gauche ou à droite, frappez tout droit à la porte du palais présidentiel. C’est la source de tous les maux dont souffre cette nation. Quant à notre président du MSD, votre ancien collègues dans la profession, il n’a qu’à s’asseoir et préparer sérieusement ses coups. Evidemment, la question ne regarde que SINDUHIJE, MUHOZI, RWASA, ou quelqu’un d’autre individuellement. Quand le mal gangrène jusqu’à la tête du pays, le poisson est pourri. On va alors gueuler jusqu’à quand? Le rendez-vous de 2015 ne sera pas une sinécure, chers compatriotes.

  11. Jereve

    Si les imbonerakure violent la loi avec la bénédiction du pouvoir, alors qu’on ne s’étonne pas si d’autres individus, organisations ou associations légales ou illégales violent les mêmes lois avec ou sans la bénédiction du pouvoir. Le gouvernement est entrain de se piéger, le monde entier qui nous observe ne nous prendra jamais au sérieux s’il s’avère que les lois s’appliquent aux uns et non aux autres. Le gouvernement est entrain de fournir un argument de poids aux contestations qui pourront naitre des futures élections.

  12. jean

    Ce qui s’est passé est tout à fait normal. Lorsqu’on n’a pas de projet de société on ne peut faire autre chose qu’empêche ceux qui en ont de le porter à la connaissance du public. Mais cela ne doit décourage personne

  13. ymk

    none ushaka gushikiriza ivyiyumviro vyiza barakubuza nyene trouve toi un autres moyens d’y arrivé Mr alexis et courrage on est là.

  14. Burundi

    Edouard Nduwimana, contacté par téléphone précise que le gouvernement ne peut pas accepter que des prédicateurs de la loi du talion circulent dans le pays : « Il y a un langage approprié pour un politicien. ». La loi du talion: »Oeil pour oeil,dent pour dent »nukuvuga koyemeye kobatoteza,bakubita abandi banywanyi biyindi migambwe mais ikosa Alexis yagize nuko yasavye kwari kubasubiriza mundumane ,abantu bihagarareko.Il se permet de donner des lecons de morale ati : « Il y a un langage approprié pour un politicien. »,Ohhhhhh Bon Dieu!!!!!!!!
    Niho banse kwitwa abashingantahe bakiyita abagabo mais nobasaba kobokwigora kandi bakarondera irindi zina suivant l’ordre décroissant (abashingantahe,abagabo,abakungu,hama umurwi wabo.Un ministre qui ose tenir des propos pareils???

  15. Tuvugukuri

    AH Bon!!Mr.Nduwimana Veut donner des conseils et des comportemn aux autres!Le Ministres vraiment z so Funny!!Arabanza yihereko we nyene hama azoheza avuge ivyabandi munyuma!
    Quant a Sinduhije j soutient pas ses propos mai d’une autre part je le comprend lui et Bakame (Leonce frodebu) baravuze bikwiye izo Mbonerakure ziguma zigira ibiro biteze dont apres tt ils ont raison!

  16. Typhon

    Le pouvoir en place est responsable de la sécurité et de l’ordre. Si les opposants veuillent interpréter la loi comme ils entendent, ils se barrent la route eux-mêmes. Un politicien qui prêche le talion (œil pour œil, dent pour pour dent,….) espère continuer sillonner le territoire national, à moins que les mandatés ne sont pas là.
    On sait que ses fans sont Tutsi et il veut promouvoir la haine entre Tutsi et Hutu? Nous t’avons à l’œil Mr Alexis.

    • Mirerekano

      Je suis vraiment désolé cher thyphon le temps Hutu Vs Tutsi est révolu but still y’a toujours des gens comme toi qui pensent que le probleme burundais est orienté dans ce sens. Le pouvoir en place est source de tous les maux mon cher ami. Mais je pense qu’un peuple n’a que l’executif qu’il mérite, si la majorité pense comme toi ce que je doute fort, c’est normal qu’on a ce qu’on a aujour’hui but it was a mistake twagize mukubatora ntiruri ibijuju we learned something from the actual government. I have a dream that my people will workup soon and stand as one to change this mistake we made by choosing what we have now as government coz it’s a shame to have Mr Nkurunziza as president this guy is good for two things to play and pray . So tumureke yikinire agapira yisengere dutore abazodufashe mwiterambere. Le tandem qui se met en place ou on retrouve Hutu et Tutsi ensemble fait peur au pouvoir. Pourvu qu’ils aient compris que leur union fera la force de toute la nation…

      • bornto

        Mais pas le tendem Buyoya-Rwasa : tous les deux sont, aux yeux de beaucoup, de criminels avérés.
        Sinduhije, il est encore très petit pour diriger le Pays. Pour 2015, qu’il aille faire du bruit au parlement, ce serait mieux. Et en 2020, il pourra être présidentiable. Côté vrai opposition nous n’avons que ces trois-là, les autres sont du vent. Alors quelle alternative en 2015 ? Rien.

  17. Kirinyota

    De toute façon, moi j’ai pas confiance à qui que ce soit du cndd-fdd, ils ont peur de l’opposition sinon ils allaient les laisser faire leurs activités politiques librement. Vous devrez avoir du courage , de la persevérance et de la détermination kugira mudukureko aba dd. Je suis prêt à donner ma petite voix à n’importe qui sauf Peter et Rwasa (DD ou FNL).

    • yooouu

      We Kirinyota ushaka ushigikire ivyo yavuze ngo iyi ntwaro nzoruhuka ndayisenye. Murererwa ariko harwa il a declaré la guerre mais bonne chance et aussi courage d’en assumer la responsabilité. NTACOMUZOSHIKAKO

  18. Jamahaar

    Dans ce pays on dit un chose et on fait son contraire.On dit aux exiles politiques de rentrer pour exercer leurs activites, mais au meme moment on les en empeche de se rendre sur le terrain pour rencontrer leurs militants et faire campagne.Le pouvoir veut-il confiner ses opposants politiques a Bujumbura pour les surveiller de pres et mener leurs contacts avec leurs miltants de l’interieur du pays a distance comme dans une operation churirgicale hi-tech ou le medecin n’a pas besoin d’etre a cote du malade dans la meme salle pour l’operer de sa tumeur?La politique est une science humaine et elle se fait au contacts et interactions physiques entre les dirigeants et les diriges.Le gouvernement du jour doit leur faciliter la tache au lieu de dresser et mobiliser des agents de l’ordre et des milliciens pour les empecher de faire leur travail de terrain.Il y va de la credibilite du gouvernement et de sa bonne image vis-à-vis de l’exterieur si on tient encore compte de ce que disent et pensent les autres des faits et gestes n’en deplaise aux souverainistes.

    • Bakari

      Avez-vous quelque chose contre les souverainistes?

  19. Kimardes

    L’Etat Burundais, mon œil !!
    Halte svp

    • Mugeni

      Je dois dire à Sinduhije qu’il s’est trompé en optant de faire la politique; politique iramuroka. A voir son comportement, son language, je ne vois pas de différence entre lui et Imbonerakure et les sans échecs du temps passé.

A nos chers lecteurs

Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.

Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.

Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.

Editorial de la semaine

Que la compétition politique soit ouverte

Il y a deux mois, Iwacu a réalisé une analyse de l’ambiance politique avant les élections de 2020 et celles à venir en 2025. Il apparaît que la voix de l’opposition est presque éteinte. Il n’y a vraiment pas de (…)

Online Users

Total 3 237 users online