Une semaine après l’appel de la diplomatie française pour « des mesures d’humanité prévues » dans le traitement réservé au président de l’Aprodh, l’Union Européenne a réitéré, ce 10 septembre, la même demande en invoquant toujours « les lois du Burundi et ses engagements internationaux. » La Délégation de l’UE a aussi rappelé la situation des 52 détenus suite aux violences du 8 mars dernier entre les membres du MSD et la police, soulignant notamment « l’importance du principe de proportionnalité et du droit de tout accusé à un procès juste et équitable. »