Avec l’annonce ce mercredi 6 juillet du report du deuxième round du dialogue inter-burundais initialement fixé au 9 juillet, l’Association Burundaise des Radiodiffuseurs(ABR) espère être invité.
Jusqu’aujourd’hui, explique Patric Nduwimana, président de cette association, nous n’avions pas encore été invités à ce dialogue inter-burundais facilité par l’ancien président tanzanien Benjamin Mkapa.
Sur son compte Macocha Tembele, assistant du facilitateur a annoncé que ’’pour des raisons indépendantes de sa propre volonté, la session du dialogue sur la crise burundaise prévue à Arusha pour 9 au 12 juillet, est reportée’’. Il indique que ’’les nouvelles dates seront communiquées sous peu’’.
«On espérait être invité au nom des organisations des professionnels des médias. Comme les dates sont avancées, on va attendre », se console le président de l’ABR en même temps directeur de la radio Bonesha FM aujourd’hui en exil.
Il appelle le gouvernement burundais à autoriser la réouverture des médias fermés sans exiger la signature d’un acte d’engagement et à lever les poursuites judiciaires contre les responsables de ces medias.
Il demande en outre que la sécurité et les droits des journalistes en exil et les professionnels des médias restés au pays soient garantis. «Ceci pourrait permettre à ceux qui ont fui le pays de rentrer».
L’ABR demande la ’’poursuite les responsables de la destruction des medias et une mise en place d’un fond de réhabilitation de ces organes de presse vandalisés’’.
Signalons que trois médias, Isanganiro, Rema et Humuriza FM ont été autorisés à reprendre leurs émissions après plus de 6 mois de silence radio forcé. Les radios Bonesha FM et la RPA de même la Radio-Télé Renaissance détruits au lendemain du putsch manqué du 13 mai 2015 n’ont pas encore eu cette chance.
svp nkurunziza refuser cet arusha .
les burundais internes sont les plus importants
mais nous avons besoin que vous partiez en 2020
nous avons besoin de democratie mais pas pas d’arusha.
note pays n’a pas ete vendu a arusha
Je suis un homme du centre du Burundi, de teinture claire, 80 kg et 45 ans. Je dois être invité à Arusha, le facilitateur doit tenir compte de mes critères sinon je fais malheur.
Allô, allô, Louis Michel, Samanta, Kagame, vous avez compris, on ne m’a pas invité, faites quelque chose. Je dois dépêcher des amis pour venir expliquer la situationet demander le soutien aux avocats de Belgique et à l’UE, merci d’organiser des conférences pour eux dans les universités belges mais aussi mobiliser les médias, mon droit n’est pas respecté ce n’est pas possible et Nkurunziza doit partir et traduit devant la cour internationale parce qu’il est en train de me génocider. Merci de votre aide.
A mes compatriotes burundais, tant pis pour vous, si je ne suis pas invité, je vais demander aux européens grenades, fusils et cartouches, je forme une rébellion et vous verrez de quel bois je me chauffe.
Je viens de comprendre que nous Burundais nous sommes de voyoux. Il semble bien toutes personnes or association peuvent participated dans les negociation a Arusha. Bizarre ce mec.
Oui, le Burundi est malheureusement un pays des fainéants! C’est-à-dire des gens qui veulent gagner facilement de l’argent. Tout le monde veut aller à Arusha! ça ne va pas non! Les soi-disant politiciens, que ce soient ceux de la mouvance présidentielle ou ceux qui se réclament de l’opposition, cherchent tout simplement des postes politiques, non pas parce qu’ils veulent servir le peuple, mais parce qu’ils veulent se servir. Tout le monde veut être politicien, président, ministre, sénateur, député,……..!!! C’est la raison pour laquelle les partis politiques qui à un certain moment ont poussé comme des champignons se « nyakurisent », le CNaRED se disloque au grand dam de ceux qui avaient misé sur cette plate-forme pour sortir le pays de la crise.
Apprenons tout simplement à vivre de nos métiers, parce que tout le monde ne peut pas s’improviser politicien comme c’est le cas actuellement au Burundi.
C’est homme est cité dans le coup d’Etant avorté du 13 Mai 2015. C’est lui qui a ordonné au putschistes de bruler la Radio Rema et de fermer l’Aéroport
Que va t-il faire à Arusha???????
L’association des boulangers du Burundais espère aussi pouvoir être invitée! J’espère que le facilitateur en tiendra compte!
Tant qu’on y est pourquoi ne pas inviter les 11 millions des burundais? Un des problèmes burundais c’est de ne pas savoir sa place, ce qu’ on est et ce qu’on fait. Vous exagérez. Qu’est-ce que ABR va négocier en Tanzanie? Dites tout simplement que vous avez besoin d’argent et que vous pensez qu’en allant à Arusha on peut y gagner quelque chose. Retroussez les mâches pour travailler au lieu de penser toujours attraper quelques sous ici et là sans travailler. Ce pays des fainéants!
Uvuze ukuri