7 des 23 panneaux de signalisation ont été déjà endommagés ou volés par des malfrats sur l’une des routes réhabilitées par Jica, l’Agence Japonaise de Coopération Internationale. Cette route a été remise aux autorités burundaises, il y a six mois à peine.
Les panneaux endommagés, sur l’avenue du Large, se trouvent sur une distance de plus ou moins 1 km, qui part du Musée vivant jusqu’au pont de la rivière Muha. Pourtant, selon le commandant adjoint de la PSR, Eric Igiraneza, le Code de la route est clair. « Quiconque abîmera un lampadaire ou un panneau de signalisation réparera les dégâts en tenant compte de la valeur de l’objet endommagé », précise-t-il.
Il reconnaît que certains des auteurs des infractions parviennent à s’enfuir : « La police est dans l’incapacité de faire la surveillance sur toutes les routes et surtout qu’il n’y a même pas des caméras pour nous faciliter la tâche ».
Toutefois, poursuit-il, d’autres, de bonne foi, restent sur place pour suivre la procédure normale. Le commandant adjoint de la PSR explique qu’à ce moment, la police confisque le véhicule en infraction jusqu’à ce que les dégâts soient réparés.
Pierre Bayihishuke, directeur a. i de l’Office des routes, qui a réceptionné provisoirement, le 28 mars, les 4 boulevards et avenues, indique qu’ils ont eu une période de garantie d’une année et qu’ils attendent la réception définitive. Le remplacement de ces panneaux, durant cette période de garantie, devraient être à la charge des autorités Burundaises puisque cette réhabilitation constitue un don de la part des Japonais.
Les sources proches de l’Agence Japonaise de Coopération Internationale, Jica, déplorent de telles infractions. Elles s’étonnent, par ailleurs, de voir que les services de l’Office des routes fuient leurs responsabilités et même si c’est pendant la période de garantie. Jica peut faire des réparations, affirment-elles, sur les défauts survenus lors de la réhabilitation de ces routes et non les dommages dus à des accidents ou vols. Signalons que des formations sur la maintenance des routes ont été déjà organisées, au Japon, à l’endroit de quelques membres du personnel de l’Office des routes et vont se poursuivre.
Les routes réhabilitées grâce à la coopération japonaise sont le boulevard Yaranda, l’avenue du Lac, l’avenue de la Plage et l’avenue du Large avec un coût de 270 millions de Yen, soit 34 milliards de Fbu.
@Bakari
Sankara ntaco avuze nakimwe kibi.c’est une opinion nkiyo rwawe.
Ikindi naco nuko abantu bose ntibazokwama bakomera amashi abo uyakomera.
C’est cela la democratie plutot!!!
Ibi vyavuzwe navyo na Directeur a.i wa office ya transport ni bimwe umuntu atamenya gupfuma uhora iyo ubize ico uvuga. Ngo nta remise iraba,nkaho umengo baraguze niyo societe japonaise. Ni bamwibutse ko ari don kandi ko gestion itegerezwa kugigwa n’abarundi. Umuntu akugabire impene ace aza no kuyikuragirira??? Nyishura bwana Bakari…Oui je pense qu’il ya manque de civisme quelque part. Nikutamenya gushimira abadufasha. Le reste c’est tres vrai: « Ce Pauvre pays est laisse a lui même..#Autopilote!! »
Ntagushikuza kurimwo kuwufise amaso yo kubona canke amatwi yo kwumva.
Murakoze.
None baba polisi baba bari hehe? Ugira ntibirirwa aho kwibarabara canke baba bari kwigira neza. Ko ata muntu numwe barerekana kuti TV, yakoze ivyo bintu. Mugihe na leta yene kuzana iryo terambere mu ruhongore rw’ impene , itavyubahiriza none wumva Atari umwanya bariko bata. n’ umuntu baciye amande yakoze ikosa kw’ ibarabara uwumufashe ashira mugapfuko akihorera. Ahanini amakosa ari kuri Leta, Nta bategetsi dufise , kiritwara.
Les routes du Burundi sont une véritable jungle. Demandez à ceux qui viennent d’ailleurs. Ils vous en diront quelque chose. C’est à se demander s’il existe un code de la route à Bujumbura. Quant aux patrouilleurs, eux, je me demande s’ils savent ce que veut dire « code de la sécurité routière ».
Quant à ceux qui détruisent les panneaux de signalisation, ils le font par imbécilité. C’est tout ce que l’on peut dire. Mais, les accidents, là c’est autre chose. Car, ces véhicules-là sont réparés quelque part à Bujumbura, n’est-ce pas? Sous d’autres cieux, même dans des villes de plus de 2 millions d’habitants, la police parvient à retrouver les auteurs de délits de fuite! Pourquoi la police burundaise ne parviendrait pas à retrouver le véhicule accidenté dans une ville si petite comme Bujumbura? Et avec un parc automobile probablement 10 fois moins important ?
Oui, il y a un manque du sens du bien commun, oui il y a de l’ignorance, oui il y a de l’imbécilité mais il y a aussi de la passivité et de l’inefficacité de notre police. Si elle en attrapait un seul et qu’elle punissait le complice qui aurait réparé le véhicule sans le dénoncer aux autorités compétentes, je crois que ces petits malins de Buyenzi y penseraient deux fois avant de refaire la même chose. N’oubliez pas qu’un véhicule accidenté peut avoir tué quelqu’un ou utilisé pour commettre un délit quelconque…Est-ce que la police de la ville ne sait pas là où l’on fabrique des imbabura, là où l’on vend de la ferraille…? Vu de façon détachée, oui on peut bien dire que nous sommes comme des chèvres, voire pire que les chèvres car nous sommes sensés avoir une conscience et être doués de raison! Et après ça on continue de tendre les mains aux donateurs…! Pitié!!!
Ntaho dutaniye n’impene zisamburirako.
Vous aurez remarqué que ce panneau est planté presque en pleine chaussée. Est-ce comme ça qu’on plante les poteaux au Japon? Question adressée à JICA.
Jewe nibaza yuko ayomabi akogwa n’imbonerakure
Il manque au Buurndais l’essentiel ie le sens de l’Etat, du bien public en somme il nous manque purement et simplmnet le sens civique…! Ikindi naco tubuze ubutegetsi bufise imiugabo n’imigambi bwereka abarundi akarorero keza!! Kanatsinda ngo Umwera iva i Bukuru ugakwira igihugu cose…! Muratira agashambara murabe aho mu gihugu kibanyi gifise abakaraba kandi bakagihagarararira. Naho uta ibabi mw’ibarabara urafatwa kandi ugahanwa..! Kugonga, kwiba ibiri kw’ibarabara vyo sinobabwira…Ndahamaze iminsi murababze uko biogenda kuko ngo ubwenge burarahurwa…!
Il faudra, peut-être, commencer là où ça commence: éliminer la corruption de la police et, par conséquent, « l’achat » du permis de conduire. Ce qui se passe en route, l’incapacité lié à l’ignorance et l’égoïsme, est inadmissible! Pourtant, chacun devrait se demander s’il se comporte bien en route car la police ne peut pas être partout. A chacun de savoir s’il se comporte digne de soi ou pas. Le mot « égard » semble devenu un vocable inconnu dans ce pays – pas seulement en route !
« L’anarchie est partout lorsque la responsabilité n est nulle part »
ce que tu viens de dire est vrai,même notre directeur a. i nawe nyene arakwiye ihugugwa canke ico kibanza bazogihe uyundi.ati nta réception définitive iraba!Ohhhh bon dieu!!!batwubakire ibarabara tuce tubasaba yuko bagira na sa gestion?
Ewe Barundi mwarabuze ihero ry´imiti, mwisamburirako nk´impene, hanyuma ngo mushaka guterimbere
Lord Have Mercy!
Igihugu kirashobora gupfa sur tout les points de A a Z?????
Ce Pauvre pays est laisse a lui même..#Autopilote!!
@Sankara
« Ce Pauvre pays est laisse a lui même..#Autopilote!! »
Kuko atari wewe uriko uragitwara rero? Un peu de modestie, please!!!
Hariko haregera ko ababishaka kandi babishoboye tubahunda amajwi! Niwateba ugasanga tuyahaye abandi ntuze usubire kuza uratumena amatwi! Démocratie Oyéééé!!!