« Un sacrilège et une volonté évidente de vouloir détruire les preuves du carnage de Kivyuka », selon Charles Makoto, représentant des associations des victimes des tueries de Kivyuka de 1996, alors que la Commission Vérité et Réconciliation n’est pas encore mise sur pied. Ce qui est déplorable dans cette affaire, c’est qu’il n’y a pas eu d’OPJ pour prendre un procès verbal de la situation. 66 corps ont été exhumés, depuis la première fausse commune puis entassés dans 6 cercueils et placés dans les anciens bureaux de la zone désaffectés.
C’est honteux, tous les assassins doivent assumer leurs actes.
Il y a risque de diminuer/faire disparaître les squelettes.
Que des voix s’élèvent et qu’on arrête ce genre de fuite en avant.
Quoi qu’ils fassent : l’Histoire rattrapera tous les malfaiteurs.