Le traditionnel message à la nation délivré la veille du 1er juillet par le président de la République est marqué cette année par peu d’annonces fortes, et une sévère mise en garde contre ceux qui voudront perturber les élections de 2015. « Ils seront considérés comme des ennemis des Burundais, de la démocratie, de l’indépendance », a martelé Pierre Nkurunziza.
Tout un pan du discours, soit le tiers des 35 points développés par le texte, est réservé à un tableau historique sur le fameux « d’où nous venons » avec, en toile de fond, un bref descriptif des citoyens qui ont perdu « l’amour de la patrie » après l’assassinat du Prince Louis Rwagasore.
Sont cités « ceux qui veulent marcher sur leurs frères et qui les couvrent d’injures », « ceux qui rejettent les coutumes et les valeurs positives qui ont caractérisé nos grands-pères », « ceux qui renoncent à leur nationalité burundaise volontairement », « qui sillonent le monde pour salir leur pays ou calomnier leurs frères burundais », « qui sèment l’insécurité dans le pays, entretiennent la haine et tuent leurs compatriotes, se livrent sans honte à la malversation économique et aux détournements des fonds », ou encore « ceux qui se rendent irresponsables dans les questions qui touchent à la paix et à la sécurité des citoyens, ainsi que d’autres bassesses similaires. »
Mais « l’esprit patriotique n’est pas définitivement perdu pour tous les citoyens burundais », selon le président Nkurunziza. Comme en témoigne la reconstruction du pays, depuis 2000 avec l’Accord d’Arusha renforcé par les divers accord de cessez-le-feu ainsi que par la mise en place des corps de défense et de sécurité qui jouissent de la confiance de toute la population dans leurs différences. Et c’est pour prolonger ce travail de civisme que le gouvernement a lancé le Programme national d’Éducation Patriotique, dispensé par « des personnes, des centres et des organisations privées, dans les villes et centres urbains, dans les écoles et dans les églises où l’on apprend à la jeunesse la culture et l’éducation typiquement rundi. »
Des enseignements qui renforceront les autres grands projets du pays, dont le Programme National de Bonne Gouvernance et de lutte contre la corruption ou encore la stratégie nationale de sécurité.
Le discours à la nation n’a pas oublié de louer les accomplissements des douze derniers mois qui seront pour la plupart célébrés à partir d’août prochain jusqu’en octobre, lors des fêtes communales. Ce sont notamment les 1.800 établissements scolaires construits ou réhabilités (« sans oublier les universités »), 49 nouveau centres de santé et hôpitaux, « sans oublier des salles de réunion, des bureaux pour l’administration, des stades et terrains de jeux, des unités de transformation des produits vivriers, des adductions d’eau potable, etc. »
Autre annonce : la campagne de reboisement des contreforts surplombant la pleine de l’Imbo (Cibitoke, Bubanza, Bujumbura, Bururi, Makamba) dès le retour des pluies, la composition de la CVR qui sera connue fin juillet, l’accroissement des moyens de prévention et d’extinction d’incendies dans les marchés (un phénomène « attristant »), ou encore la mesure de grâce concernant près de 3.000 prisonniers.
Et même si sur les 12 derniers mois, « pas mal de ces vices ont perturbé la paix, en particulier le mensonge, les montages, le non respect de la loi, les soulèvements, la mauvaise gestion de la chose publique, le manque d’éducation, le non-respect des parents, des éducateurs et de Dieu, le comportement déviant, des diffusions à la va-vite », Pierre Nkurunziza reste optimiste : « Les temps continuent à s’améliorer, car nous faisons chaque fois de nouveaux pas en avant. »
De quoi espérer en 2015 les meilleures élections qu’ait connu le Burundi. Les prémices de cette réussite ? L’action de l’Ombudsman avec les rencontres entre jeunes appartenant à des partis politiques différents et les ex-combattants, la CENI à l’œuvre, et surtout « la volonté, la mise en avant le bien de la nation et de ses citoyens, ainsi que le respect des lois en vigueur. »
Car « ce sont les élections qui dotent le pays des Institutions et des dirigeants qui ont la confiance de la population, amènent la paix et consolident la démocratie et l’indépendance dans le pays. »
Du coup, « celui-là qui voudrait que les élections n’aient pas lieu est un adepte du chaos général. » D’où la mise en garde présidentielle : « Ceux qui veulent troubler les élections ne feront pas de pas sans se faire attraper. Vous l’avez déjà vu d’expérience, nous lions l’acte à la parole, et nous n’allons pas démordre sur ce principe. » Car « l’histoire nous a montré beaucoup de dérapages lorsque l’on a longtemps fermé les yeux sur des fautes, favorisant l’impunité. »
Et de demander de nouveau à la communauté internationale d’appuyer ce processus électoral, en envoyant notamment des observateurs dès la préparation des élections, pendant et après les scrutins.
Le numéro un burundais a de nouveau appelé les Burundais à ne pas être emportés par « les prochaines élections au risque d’oublier le travail habituel, car après les élections, la vie va continuer. Concentrez vous donc sur les activités de développement qui vous aident à faire vivre vos familles, et que ce soit là l’objet de votre plus grande préoccupation. »
Ndaruanze wewe utegerezwa kuba usenga kiranga canke imizimu
Mbega yemwe Ndarusanze yaciye mu Cabaret ka hehe?Tu oses dire que Dieu n’existe pas? Dieu sait que tu existes;pourquoi ne pas lui rendre la pareille?Ou bien tu es de ceux qui croient que l’homme descends du singe?
« ceux qui renoncent à leur nationalité burundaise volontairement »
Je pense que ce n’est pas cela qui a été dit. Plutôt le discours dit ceux qui distribuent des documents d’identité burundaise (CNI, passport) aux étrangers.
AMATORA AZOBABA NEZAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA CANEEEEE
« qui sèment l’insécurité dans le pays, entretiennent la haine et tuent leurs compatriotes, se livrent sans honte à la malversation économique et aux détournements des fonds », ou encore « ceux qui se rendent irresponsables dans les questions qui touchent à la paix et à la sécurité des citoyens, ainsi que d’autres bassesses similaires. »
Mr president, you have accurately described your administration and all you’ve done since you came to power… So if we are to fight against this, Put your name first on the list!!!!
Hari ibiyago kuri radio Isanganiro vyerekeye umupira Swisse na Argentine. Baranaharura abirabure barimwo!!
L’EXEMPLE DE L’INDE ET DE SA DIASPORA AUX ETATS-UNIS
1. Il y a quelques annees, je ne sais quel president americain s’est rendu en visite officielle en Inde, accompagne de centaines d’hommes d’affaires, dont des membres de la diaspora indienne des Etats-Unis (parce qu’elle pouvait avoir une certaine?/meilleure? interpretation des relations indo-americaines.
2. Aujourd’hui il y a des centaines de milliers de citoyens tanzaniens (par exemple) qui sont d’origine burundaise et qui peut-etre encore voudraent entretenir des liens avec le Burundi.
Plutot que de les accuser d’etre « Ceux qui renoncent a leur nationalite burundaise volontairement », l’on pourrait encourager une collaboration entre la chambre de commerce du Burundi et les nombreux commercants/hommes d’affaires d’origine burundaise qui sont a Kigoma, Tabora, Mwanza, Dodoma, Morogoro (depuis l’epoque des manamba/travailleurs agricoles dans les plantations de sisal), Dar es salaam et ailleurs.
Merci.
@Stan: Vision + Leadership politique. Ntakundi Tubuze.
@Kaminuza
LE BEAU PAYS DE MWEZI GISABO pourrait s’inspirer de la Republique d’Afrique du Sud ou TOUS LES PARTIS POLITIQUES SE SONT RALLIES autour du National Development Plan (NDP) 2030.
1. National Development Plan 2030 a ete solennellement remis au President Jacob Zuma (dans une ceremonie au Parlement) le 16 aout 2012.
Son adoption par le parti au pouvoir, African National Congress-ANC (en decembre 2012, lors de la conference nationale a Mangaung (Bloemfontein)) n’a fait que « renforcer son autorite apparente ».
3. Par la suite, tous les partis politiques se sont rallies autour du NDP, le rendant une feuille de route pour le developpement national, qui est apolitique et technocrate/effectively turning it into an apolitical football and a technocratic roadmap for national advancement.
Le mettre en doute est synonyme de manque de patriotisme/disagreeing with it effectively becomes unpatriotic.
4. NDP prevoit de reduire le taux de chomage de l’actuel 25% a 14% en 2020, pour atteindre 6% en 2030. L’economie du pays devra croitre de 5,4% par an et en tout, 11 millions d’emplois devront etre crees.
5. C’est quand meme etonnant et agreable d’entendre le parti principal de l’opposition/official opposition party (= Democratic Alliance (DA), dirige par Madame Helen Zille, 22,23% des voix aux elections de mai 2014, environ 86? sieges dans un parlement de 400 deputes) demander au Gouvernement de mettre en oeuvre le plan national de developpement.
(Voir « DA urges govt to implement NDP », http://www.news24.com, 28 June 2014).
Merci.
et bonjour monsieur PCE en vous écoutant on a l’impression qu’un jour vous finirez par imposer vos propres logique et manières dont on dirige le pays.comment peux tu comparer deux prix pour deux nations différentes ,qui n’ont pas les mêmes moyens, la même politique ,la même mentalité ?si vous êtes européanisé il ne faut pas vouloir imposer une logique de l’endroit ou vous habitez parce que les autres n’ont pas eu cette chance d’être là ou vous etes.courage mais en restant longtemps en Europe on fini parfois par perdre sa culture.merci
« ….en restant longtemps en Europe on fini parfois par perdre sa culture ». Cela suppose que la culture burundaise est meilleure que la culture européenne qui en soit, du fait que l’Europe n’est pas un bloc monolithique est variée. Il n’y a que de bonnes choses en Akaranga k’abasokuru. Il y a aussi des conneries typiquement burundaises, auxquelles il ne faudrait pas s’attacher. Les conneries existent aussi dans d’autres cultures. Ceci étant dit, les Burundais ont beaucoup a apprendre de l’Europe. Je ne suis pas sur si l’inverse est vrai
Une fuite en avant d’un homme aux abois; un discours qui n’apporte aucune nouveauté, sauf l’intimidation. Celui qui veut perturber les élections est avant tout celui-là qui veut se présenter en candidat non autorisé par la constitution et qui a terminé ses mandats; c’est celui-là qui veut le chaos et il en aura pour ses comptes. Qui est-il? Nkurunziza Pierre, alias PITA.
@Uwarugwanye
Nkurunziza est en train de prendre du galon là où les autres présidents burundais ont failli, continue alors tes aboiements en sachant que ça ne l’empêchera pas de suivre son action comme cela se doit!
Aboyer? Le mot est trop fort. Digne d’un berger de Vyegwa, à MWUMBA. Je te vois s’attaquer à moi, UWARUGWANYE. Tu peux jeter toutes les fleurs à ce monsieur qui fait la honte de tous ses prédécesseurs à la tête du Burundi. Mais son bilan parle de lui-même. Du reste, tu peux t’accrocher sur lui comme une tique sur le cuir d’une ankolé morte depuis longtemps.
@kimeneke
«Du reste, tu peux t’accrocher sur lui comme une tique sur le cuir d’une ankolé morte depuis longtemps.»
Nkurunziza tient toujours debout mon cher, ne le prends pas pour mort car il veille toujours sur son Peuple qui l’ont élu à plus d’une reprise, et rappelles- toi aussi que «agati kateretswe n’Imana ntigahuhwa n’umuyaga» et encore moins tes jappements!
Me faire peur avec des yeux grands ouverts par simple trouille? Courage cher Mpita ou Pitabakana. Tu comprendras trop tard que tu n’es pas une progéniture de Dénise Nkurunziza.
Même Kaddhafi son ami se croyait plus populaire, puissant et invulnérable.
Tu es peut-être gavé par ses millions du Falcon 50, alors que 99% de nos compatriotes mangent à peine une patate crue. Je ne me courberai jamais devant un manipulateur des masses comme ton patron tant chéri. Lisez l’histoire de Mobutu, le grand maréchal qui est le père spirituel de vous tous les DD. Niba uzi ubwenge wokuramwo icigwa, hanyuma ukitonda.
Bonne fete a toutes et tous.
Uyo mu president wacu yarakwiye gukora ukwasa. N’ikiyo. Felicitations a Denise yatoye neza.
« Ceux qui renoncent volontairement a leur nationalite burundaise »
1. Quand certaines personnes se croyaient superieures a moi parce que j’etais refugie (avec quand meme plus de 4-5 fois le salaire minimal de base dans ce pays), alors que elles, elles etaient citoyens/wananchi d’un certain pays de l’Afrique de l’Est, c’est la que j’ai compris que CERTAINS DE NOS PAYS AFRICAINS N’ONT RIEN A OFFIR A LEUR PEUPLE, SAUF LA NATIONALITE.
2. Avec mon document de voyage de de refugie. je me suis senti humilie a maintes reprises :
– Quand on m’a dit de ne jamais aller « les embeter » si jamais je rencontrais des problemes la ou j’allais;
– Quand un avion d’Ethiopian Airlines a eu des problemes avec la roue d’atterissage a l’aeroport de Rome et n’a pas pu continuer son voyage jusqu’a Frankfurt. Tous les autres passagers ont eu un visa pour passer la nuit dans une chambre d’hotel en ville (aux frais de la compagnie aerienne) sauf moi;
– Quand a Niagara Falls, la frontiere entre Etats-Unis et le Canada, j’etais le seul a sortir du bus (rempli de 30-50 etudiants) pour presenter mes papiers.
3. Au moins mon passeport actuel a ma vraie taille, alors que mon passeport burundais disait que je suis 8 cm plus court.
4. Aujourd’hui le Gouvernement burundais qui n’a aucune politique de l’emploi pour les jeunes ne devrait pas s’etonner que certains burundais essaient de profiter de la premiere opportunite qu’ils ont pour echapper a l’extreme pauvrete dans le pays (et aussi echapper aux violations des droits de l’Homme).
On aquiert pas une nationalite etrangere parce que l’on veut devenir (necessairement?) l’ennemi du Burundi.
Le Rwanda, l’Ouganda et le Kenya font un effort exceptionnel pour que leurs diasporas (Y COMPRIS CEUX QUI SONT DETENTEURS DE PASSEPORTS ETRANGERS) investissent dans leur pays d’origine en achetant la dette publique/bons de tresors.
5. Quand j’ai discute avec des amis et leur ai dit que je voulais que mon nouveau passeport me protege bien partout au monde, mais quand meme pas au Burundi ou je suis ne/Aho nataye uruzogi et ou je devrais avoir plus de droits, ils m’ont carrement dit que j’etais tres naïf/tres idealiste et que d’ailleurs mon nouveau pays ne permet pas une double nationalite (si vous venez d’un pays du Tier Monde?).
Merci.
Stan, uratunze ukitonda. Ico gihe ca histoire wahembwa autant d’argent kandi ukiri refugie!!??Harakantu ubu.
Kandi uko mbona wandika, utunze ukiriko. Iciza cawe urahanura kandi ugashirako les elements pour appuyer ce que tu dis.
Franchement uri imfura. Icompa tukamenyana sinobura ico ndakwigako.
@Vuvuzela
Merci beaucoup de votre soutien.
Oui,
Ce Stan est un vrai contributeur sur ce forum. J’apprécie beaucoup ses commentaires.
L’administration burundaise (CNDD-FDD) à commencer par son chef suprême Nkurunziza ne veut pas comprendre l’intérêt qu’ell pourrait tirer de la diaspora. Ceux qui réussissent à avoir un passeport étranger devraient intéresser au plus haut point le Burundi car ils sont ceux qui ont réussi une insertion profetionelle dans leur pays d’accueil. Les autres pays comme la Chine, l’Inde et plus près de chez-nous au Rwanda comme au Kenya, cette diaspora est chouchoutée. Elle est capable d’offrir un soutin technique à leur pays d’origine, elle a réussi à assembler dans leur pays d’accueil un petit capital qu’elle peut investir au Burundi et j’en passe. Dernièrement un médecin d’origine burundaise mais citoyen d’un pays européen me raconter cette histoire: voulant aller au Burundi pour des affaires de famille, il passa à l’ambassade burundaise pour demander un visa. Il recu le visa en catamini. L’ambassadeur qui était présent à l’ambassade n’eut pas même cinq minutes pour un bonjour de courtoisie, demander comment cet homme pourrait aider le Burundi. Notre ambassadeur le vit, se couvrit la face et ne lui demanda rien. Avec de tels ambassadeurs, le Burundi ne pourra jamais exploiter la chance que représente sa diaspora. Je sais on va me répondre que le médecin doit faire montrer de son initiative privée. Cela est vrai et bon nombre de gens le font, seulement si l’Etat Burundais se saisissait du problème, on aurait une toute autre amplification et efficacité. Dans la diaspora Burundaise, il y a des médecins, des professeurs d’université, des ingénieurs, et j’en passe. Nombreux de ces gens seraient prêts à apporter leur contribution pour bâtir le Burundi. L’Etat burundais en a besoin mais cet Etat ne demande rien, n’organise rien ne fait montrer d’aucun volontarisme. Or un volontarisme est ici indispensable. Le leadership du CNDD-FDD depuis 10 ans ne fait rien.
Bien sûr ces gens ont intériorisé certaines valeurs qui ne sont pas de mise au Burundi. Faut-il leur en faire un reproche? Certainement non. Malgré toute la beauté et la justesse de la culture burundaise, elle a ses recunes et ses retards. La confrontation avec le monde extérieur ne peut que la conforter et la faire perdre certaines de ses lourdeurs et se scories. Seule les cultures faibles refusent la remise en cause qui sort de la confrontation avec d’autres idées et facons de penser et de faire. D’autre part il y a des tares que ces gens refusent sans concession. Certains savent que l’administration doit être au service des citoyens. Certains refusent de s’accomonder du niveau de corruption qui règne au Burundi. On pourrait allonger indéfinement la liste des difficultés. Mon propos est de dénoncer un état de fait en mettant des mots sur des chose que les Burundais savent et ressentent sans vouloir les nommer, tellement cela les afflige et les déprime.
Entendre Nkurunzinza disserter sur les inyankaburundi, allant jusqu’à mettre en suspicion et même carrément à insunlter des gens dont il ne connait ni les problèmes et ni les mobiles et que de toute facon lui et son régime ignorent, est purement révoltant.
Le discours de S.E. NKURUNZIZA n’est pas une surprise pour moi. Le terme INYANKABURUNDI me fait toujours tiquer….! Et ceux qui mettent en place des milices et les arment pour faire peur et harceler ceux qui ne pensent pas comme le pouvoir, on les appelle comment? INKUNDABURUNDI certainement…. !!! Mais, quand Mr NKURUNZIZA de ceux qui perturberont les élections de 2015, il a totalement raison car s’il décide de se présenter pour un 3ème mandat alors que la constitution burundaise ne le lui permet pas, qu’il s’attende à des perturbations car il aura violé la constitution nationale et pourra être passible de haute trahison….Ntabirenze ko uruho rw’amazi ntarekuriwe kwitoza muri 2015….. naho avyirengagiza… !
S’il part, qu’il soit rassuré car nous ne sommes pas prêts à oublier les bienfaits de son pouvoir (assassinat des opposants, harcèlement de la société civile et des médias, mise en place d’un système de corruption sans précédent, emprisonnements arbitraires, népotisme et recrutement sur des critères politiques d’appartenance tribalo-ethnique et au parti au pouvoir etc….) au peuiple burundais en collaboration avec ses Généraux (BUNYONI, NSHIMIRIMANA Adolphe, NDAKUGARIKA et j’en passe) en 10 ans de pouvoir…! Le ridicule ne tue pas…!
Ngira neneho imvugo igiye kujana n’ingiro aho vyakabereye!Ubulofa bw’imbonerakure ngira agiye kubushirako akaburungu,ubulofa bwo gusambura imigambwe akaburungu,ivy’ukwiba nk’isiha akaburungu,gusha kw’amasoko akaburungu,ububeshi n’ukutavuga ibintu akabigendera (umukuru w’igihugu) akaburungu,ifungwa rya Petero Mbonimpa akaburungu,n’ibindi n’ibindi. Kuko muri vyinshi yavuze numvise harimwo vyinshi kugira bijeko akaburungu ariwe ubwiwe agomba gufata iyambere.
Cela s’appelle un discours haineux . Quant au fait de « renoncer volontairement à la nationalité burundaise » , je pense que Mr Nkurunziza fait volontairement et sciement de l’amalgame .Il se trompe énormément , ne pas avoir un passeport burundais lorsqu’on a la double nationalité n’est en aucun cas un problème . Mais d’abord pourquoi décide t on un certain moment de ne pas demander le passeport burundais? C’est à cette question qu’il faut répondre , tout le reste est accessoire. Un exemple : aux Pays Bas par exemple , le passeport néerlandais s’acquiet en moyenne à 35-45 euros , même si dans certaines mairies le cout revient à 80 euros mais c’ est vraiment une exception. Que coute le passeport burundais ? Si mes informations sont bonnes , il revient à plus de 200.000 fbu , ceci veut dire environ 100 euros , cela fait quand même beaucoup d’ argent pour un burundais alors qu’un néerlandais l’acquiert à moins de 50 euros !!! Quelle logique a poussé les autorités burundaises à fixer le cout du passeport à 100 euros? Je n’ en sais absolument rien. Il me semble tout à fait logique que les burundais disposant la double nationalité choisissent de payer le moins cher possible leur passeport . Est ce une raison suffisante pour critiquer les possesseurs de la double nationalité. Ce qui est déplorable est que cela vienne de la plus haute autorité de l’ Etat . Si certains burundais semblent être choqués par la double nationalité ils n’ont qu’à interdire le fait de renoncer à sa nationalité d’origine comme le Maroc? Mais ca servirait à quoi ?
Une deuxiemem chose : existe t il des statistiques burundaises de ceux qui perdent leur nationalités ? Si elles existent comment ont elles été faites ? Et par qui ? Si elles n’existent pas , alors c’ est grave , cela veut dire que l’Etat burundais est dirigé avec des rumeurs . Et cela n’est pas acceptable et je m’ arrête là .
Il a raison de dire tout ce qu’il dit, d’abord a vous voir, vous êtes capable de perdre votre nationalité pour une question de prix du passeport!!!!!! ont comprend quel genre de patriote vous êtes
@Irakoze Odilon
1. Patriotisme est defini par le dictionnaire Larousse comme « attachement sentimental a sa patrie, se manifestant par la volonte de defendre, de la promouvoir.
2. Le contraire peut etre Trahison = atteinte aux interest fondamentaux de la nation , commise par un Francais ou un militaire au service de la France.
3. Dans le monde d’aujourd’hui, croyez-vous que c’est (necessairement?) le Burundo-israelien, Burundo-Coreen du Nord qui a peur de la mise en place de la Cour Penale Internationale pour le Burundi ou c’est quelque autre groupe (parfois/souvent haut-place) au Burundi?
Merci.
« Les temps continuent à s’améliorer, car nous faisons chaque fois de nouveaux pas en avant. » dixit Pierre Nkurunziza.
De qui se moque-t-on ? NO COMMENT.
Je suis toujours surpris de voir que nos dirigeants cherchent à définir inyankaburundi. Ce terme est une abbérration et montre à quel point nos impératifs moraux sont faibles.
Dans un Etat que se veut un Etat de droit, tout est dit par la loi. Si quelqu’un sort de la loi, il doit être puni par la loi et la justice devrait pouvoir dire clairement quel acte, quel punition. Ces histoires d’inyankaburundi n’ont absolument rien à faire dans une Etat de droit. Y faire référence, surtout si on es chef de l’éxecutif, c’est, en sourdine, reconnaître que l’Etat que l’on dirige n’est pas un Etat de Droit. Ici notre Nkurunziza nationale pourrait par erreur avoir raison. On dit que « même une pendule arrêtée marque la vraie heure, deux fois par jour ».
Ngira na Rajabu yatezuriwe.
Les chercheurs du CERN à Genève viennent de mettre en évidence la particule à l’origine de l’apparition de la vie sur terre, une découverte essentielle prouvant définitivement l’inexistence de Dieu.
Et quelle est l’origine de cette particule?
Un vrai débat : préparer l’avenir tout court et ne pas se limiter aux élections uniquement !!! Mais de grâce ne faussons pas les jeux de la démocratie !!
http://www.arib.info/index.php?option=com_content&task=view&id=9561&Itemid=1
A dire qu’il ya eu une découverte d’une parcule prouvant l’origine de la vie sur terre,c’est une grande perdition.D’abord d’où est venu la terre,toi qui dit cela es tu sur de ce que tu dis
Tu es un vrai amateur de lucifer,ce ne pas que tu renie l’existence de Dieu que Dieu cessera d’exister.Bientôt tu te retrouveras devant lui et tu seras jugé.En moins que tu te repente et que tu te retourne de ton chemin de perdition ;tu te retrouveras dans l’étang de feu ardent de souffre et tu sauras que Dieu existe sans que tu ne puisses rien faire.Tu as encore du temps pour de repentir et fais le maintenant