La ministre de tutelle a annoncé, ce vendredi 20 juin, à Bujumbura, que le Programme d’Appui à l’intensification et à la valorisation agricole (PAIVA-B) a reçu la somme du Fonds International pour le développement agricole (Fida).
D’après Odette Kayitesi, l’évaluation à mi-parcours du PAIVA-B en 2013 a montré une nécessité d’y affecter un autre budget. Ce qui lui permettrait, précise-t-elle, de mener à bon port ses activités et par conséquent améliorer le niveau de vie de la population du monde rural.
Hermenegilde Rufyikiri, coordonnateur du programme, précise que le budget restant n’était pas suffisant pour atteindre les objectifs qualitatifs de départ : « Le décaissement s’élevait à plus de 50% du financement prévu. Et les réalisations étaient de l’ordre de 60%. »
Avec ce fonds additionnel, espère-t-il, le PAIVA-B pourra étendre ses activités dans d’autres provinces, notamment Bubanza et Muramvya. Même les objectifs de départ seront atteints qualitativement. Et le programme pourra continuer ses activités jusqu’en 2017, année d’achèvement.
Et la ministre de l’Agriculture et de l’Elevage de mentionner que ce fonds permettra de continuer les activités dans l’aménagement des marais, la construction des infrastructures de base et de la transformation agro-alimentaire. Il sera aussi question, poursuit-elle, du repeuplement du cheptel, de la collecte et transformation du lait. Elle ajoute que le programme d’intensification rizicole nécessite des infrastructures d’accompagnement. On citera des hangars de conservation de la récolte de la population, des décortiqueuses améliorées pour que la qualité du riz se conforme aux normes régionales et internationales.
Ntamuntu yoduha CV yuyo muministre turabe kuko umengo na décret yiwe yahatswe guteranya abo ntavuze izo makanaki ziwe turazihaze natange imihoho
LA OU IL Y A LA VOLONTE, IL Y A UN CHEMIN.
Peut-etre que le BEAU PAYS DE MWEZI GISABO pourrait s’en sortir après tout (= Assurer sa securite alimentaire pour eviter a tout prix la catastrophe malthusienne?) s’il peut tenir compte des etudes qui ont conclu que:
1. La croissance agricole en Afrique subsaharienne contribue 11 fois plus a la reduction de la pauvrete que celle des secteurs non agricoles comme les services publics et le secteur minier.
(Voir:
– FAO: « The state of food insecurity in the world 2012 », http://www.fao.org; a la page 28.
– « Pret au changement. La promesse de transformation agricole de l’Afrique. http://www.one.org).
2. L’effet multiplicateur des depenses en agriculture est entre 1,3 et 1,5 en Afrique. Un dollar qu’on arrive a creer dans le secteur agricole s’accompagne de 30 a 50 centimes supplementaires dans quelques autres secteurs de l’economie nationale.
(Voir:
– Haggblade S., Hazell P. and Dorosh P., 2007: « Sectorial growth linkages between agriculture and the rural nonfarm economy. In: Haggblade S., Hazell P. and ReadonT. (eds), 2007: Transforming the rural nonfarm economy – Opportunities and threats in the developing world. John Hopkins University Press, Baltimore.
– The agricultural multiplier effect (infographic). http://www.g20civil.com).
EN AVANT BURUNDI/Burundi ter’imbere nk’umuzinga.
Merci.
Blabla, tu est vraiment ignorant en matière d’agronomie!!!Propose-nous un outil de travail efficace dans ces hautes montagnes du Burundi et dans ce petit pays où la superficie cultivable moyenne/ménage reste en dessous de 0,5 ha. Un agronome bien formé associe toujours les moyens de production à la rentabilité économique d’une exploitation.A bon entendeur salut!!
Muhutu, tu dois être parmi les gens des régimes passés qui ne pensaient jamais améliorer la vie des paysans parce qu’ils les considéraient comme des esclaves, faits pour les travaux durs. Les conséquences c’est l’insécurité alimentaire pour beaucoup. Peut-être tu l’ignore, il existe des motoculteurs capables de travailler sur de petits terrains, capables de passer entre les plantes. Tant qu’on améliore pas entre autres l’outils de travail comme quelqu’un l’a déjà dit, on souffrira toujours de la faim alors qu’on fait le travail des champs du lundi à samedi.
Monsieur KIBWA, ta critique n’en est pas une tant que tu ne nous montre pas les preuves tangibles liées au vol organisé par le programme PAIVA-B!!! Et je t’apprendrais que la mendicité n’est pas uniquement due au vol car on n’en trouve bel et bien dans les pays qui se disent développés… donc à gestion hautement transparente des biens publics.
Muvyehi Kayitesi nibakwongere na ministere ya securite publike itange ama permis utayagurishije kuri 350 000. Uwuherutse kuronka ubu commissaire bw i muramvya yatanze 3 million kugira aburonke. Banyamuramvya muragowe kuko azobacurabufuni na buhoro kugira ayisubize yongere yunguke. Turagoooweeee Nizigama atahavuye!! Na perezida umengo ntabona ivyo ariko arakora. Amadeni arishe igipolisi muri mitiwele, amahera akodesha izu zo gukoreramwo ministere nibindi vyinshi. Amahoro mugipolisi asigaye muri PAFE honyene kubera jimmy. Yemwe yemwe turatabaje. Abaja muri mission bfumbatisha umushikiranganji. Tabare
Des blabla et des blabla.
Comment voulez-vous nourrir autant de bouche avec la houe? Il changer l’outil de travail Madame la Ministre.
Turashimiye ico kigega mpuzamakungu FIDA barakama uko, turavye twe aho tuherereye ibikorwa bimaze gukorerwa mu ntara zine uwo mugambi urimwo vraiment birahimbaye n’abanyagihugu barashima ibikorwa PAIVA-B imaze gukora, hama turasavye reta y’uburundi iduhe umutekano ukwiye kugira ibikorwa nkivyo biboneke kuko murazi ahatari amahoro n’umutekano nta terambere, murakoze.
Des discours, des discours et des discours, muvuga mwiba, muvuga mwiba ect……pendant qu’un haut de Kiriri, Gasekebuye et Mutanga Nord, les hommes, les femmes électeurs du cndd-fdd vivent de la mendicité et portent des culottes déchirées en attendant le rendez-vous de 2015!!!!
Kibwa
Haboneka abarundi b’umutwe bo guteza imbere uburimyi bakoresheje amahera yabo bakabankira. Raba ivyo bakorera Bayaganakandi. None ayo madeni aherera mumipfuko ya bamwebamwe mwibazako azomara iki? Pour l’outil de travail, il y a des régions où la houe reste incontournable. Notre problème numéro un reste la fertilisation aux angrais naturelles pour préserver l’environnement et la gestion de l’eau. Quand on est incapable de retenir les eaux de pluies sur des pentes pour en faire usage durant la saison sèche ou quand survient une secheresse, oubliez la suffisance alimentaire. J »entends souvent les agriculteurs déplorer le menque des engrais chimiques. On ne retient pas la leçon du présent: l’Occident fait face à la recrudescence du cancer en partie à cause des fertilisants chinmiques. Comment alors ce bon monde qui se croit intellectiuel reste muet? Une chose est sûr. Bagaza avait raison d’exiger za nyabarega. Tout le Kirimiro et le Buyenzi, là où il y a la terre rouge, deux ans de fertilisations aux angrais organiques suffisent pour produire pendant plusieurs années. Ndabivuga nkuwubizi pour avoir multiplier par 10 la production de blé dans ma famille sans du tout augmenter la surface cultivable.