Avant de s’envoler pour Dar es-Salaam pour une rencontre avec Benjamin Mkapa, co-facilitateur dans la crise burundaise, l’envoyé spécial des Etats-Unis pour les Grands Lacs a beaucoup insisté sur la relance du dialogue inter-burundais.
Tom Perriello a exprimé son soutien à la facilitation est-africaine comme seul chemin vers une solution politique à la crise que traverse le Burundi et surtout. C’était au cours de sa 7ème conférence de presse animée à Bujumbura ce mardi 19 avril.
Cet émissaire américain a demandé au gouvernement burundais de ne pas mettre des mesures strictes ne pouvant pas faciliter un dialogue inclusif. «Nous croyons à l’importance du dialogue inclusif facilité par la Communauté est-africaine. Nous attendons impatiemment un début accéléré et une issue rapide du processus», a-t-il souligné.
Comme cela a été mentionné par le Conseil de sécurité des Nations Unies, a-t-il expliqué, nous avons besoin d’un processus qui réaffirme au lieu de redéfinir l’Accord d’Arusha. Nous n’avons pas besoin d’un accord qui aboutirait à la création d’un quartier ou d’une cité Arusha ici au lieu de se concentrer sur la croissance économique du pays.
Selon lui, il y a d’énormes questions qui persistent. «C’est clair que Bujumbura a fixé des lignes très strictes sur qui peut ou non participer à ce dialogue inclusif, l’agenda,… «Il y a certes des questions légitimes qui peuvent être soulevées, mais on peut voir par là si des gens sont animés de bonne foi ou non».
Pour cet envoyé spécial des Etats-Unis pour les Grands Lacs, différents blocages doivent être levés : «Si vous tracez des lignes strictes, en disant que les putschistes ne peuvent pas participer ou que toute personne avec qui vous êtes en désaccord devient putschiste, cela n’est pas de nature à favoriser un dialogue inclusif», a conseillé ce diplomate.
Et de plaider : «Nous avons exprimé notre volonté de voir certains membres de l’opposition jouir de la légitimité de participer dans ce processus».
Les Etats-Unis attendent des résultats
Tom Perriello appelle Bujumbura à tenir à ses promesses. Si la crise persiste, a-t-il noté, c’est parce que le gouvernement burundais ne réalise pas ses engagements. «Nous avions eu, il y a quelques semaines, des engagements fermes du président lui-même pour libérer les prisonniers politiques. Cela n’a pas encore été fait. Nous avions également eu des engagements du président pour l’arrivée de 200 observateurs de l’Union Africaine. Nous attendent les résultats», a-t-il rappelé.
Ce qui compte pour nous, souligne-t-il, c’est d’avoir des observateurs sur place qui pourraient vérifier si des personnes sont tuées ou ont disparu. «Le gouvernement dit s’engager pour que les Burundais puissent se sentir en sécurité mais en même temps, il y a des cas de torture et des exécutions extrajudiciaires. Ce genre de double langage ne bâtit pas la confiance et n’aide pas à aller de l’avant», a-t-il conclu avant son départ pour Dar es-Salaam.
Est ce que Mpaka a deja mentionné que c’est le gouvernement bdais qui refuse de dialoguer?
Pepe, voila comment agissent les pays qui nous apprennent la démocratie et les droit de l’homme: Obama : poursuivre en justice les Saoudiens pousserait d’autres pays à poursuivre les USA
21 avr. 2016, 08:47
La veille de sa visite à Riyad du 20 avril, le président américain a déclaré envisageable de déclassifier un chapitre de 28 pages du rapport sur les attentats du 11 septembre 2001 mais s’est opposé à toutes actions judiciaires contre les Saoudiens.
Suite aux propos de deux sénateurs, Kirsten Gillibrand et Bob Graham, selon lesquels que un chapitre classifié de 28 pages du rapport sur les attentats du 11 septembre contiendrait des preuves de l’implication de membres du gouvernement saoudien, voire de la famille royale, les Américains montrent leur obstination à poursuivre en justice l’Arabie Saoudite. Des élus, républicains comme démocrates, du Sénat ont déjà rédigé un projet de loi qui permettrait de traduire les Saoudiens devant des tribunaux américains. Il a été déjà approuvé par le Comité de Magistrature du Sénat au mois du janvier mais il faut encore qu’il emporte la majorité des votes.
Barack Obama, de son côté, a annoncé que si le projet devait être adopté par le Sénat, il y apposerait son veto.
«Exactement, j’y suis opposé», a-t-il déclaré dans une interview à la chaîne CBS News en précisant qu’une telle loi violerait un principe important du droit international : l’immunité des Etats.
«Si nous ouvrons la possibilité aux individus de poursuivre en justice les gouvernements d’autres pays, nous ouvrirons aussi la voie à ce que des individus d’autres pays lancent en permanence des actions en justice contre les États-Unis», a-t-il conclu.
Il a aussi refusé de s’exprimer ouvertement sur les responsabilités directes ou indirectes de l’Arabie Saoudite en déclarant que, malgré le bruit autour des fameuses 28 pages, le coordonnateur du renseignement américain Jim Clapper était encore «en train d’étudier la publication» et qu’il devait décider si cette dernière «ne mettrait pas en péril la sécurité nationale des États-Unis.»
La polémique autour de la publication de ces 28 pages classifiées a commencé après les propos tenus par Zacarias Moussaoui, en février dernier. Ce dernier, généralement désigné comme le 20e terroriste de ces attentats, a assuré à des avocats américains que des membres de la famille royale saoudienne avaient versé des millions de dollars à Al-Qaïda dans les années 1990.
Après la diffusion des revendications des élus américains dans les médias, les Saoudiens avaient menacé de revendre des bonds du trésor américain à hauteur de 750 milliards de dollars si le Congrès laissait passer cette loi.
Denis est au pouvoir pour un énième mandat, après changement de constitution, là les américains et leurs alliés n’ont rien à dire
Au Rwanda, un autre chouchou s’octroi des mandats à vie. Là non plus, les occidentaux n’ont rien à dire
Au Cameroun, au Togo, au Gabon,…., des fils succèdent aux pères, et il n’y trouvent rien à dire
Au Burundi, des grenades sont lancé à l’aveuglettes sur une population innocente(Les quartiers sont de plus en plus ciblés), et là ils n’ont rien à dire. La violence est du seul camp présidentiel.
« Tout a commencé avec ce troisième mandat », nous dit-on. Comme si les attaques de Cibitoke(à deux reprises), les jets de grenades de 2010, Fronabu-Rabara, Nzabampema, Kabirigi, « Moise »,……. n’avaient jamais existés!
C’est vrai qu’à l’époque déjà, le Burundi n’avait pas le droit de se défendre! Tuer un ennemi de la nation était contraire aux droits de l’homme et méritait la prison de La Haye. Les militaires et policiers tués? Pas un mot à leur propos!
Même chose aujourd’hui. Un « Lanceur de grenades » emprisonné devient un prisonnier politique à libérer au plus vite.
La version est « Tout a commencé depuis le mandat de trop et des manifestations pacifiques réprimées dans le sang ». Avant , il n’y avait rien! La paix et l’harmonie étaient la règle.Comme si les burundais n’étaient pas là quand tout a commencé.
Ne vous en faites pas. Les Burundais étions là. Les burundais voyions et voiyons toujours. Les Burundais étions là quand Saddam était accusé de détenir des armes de destructions massives. Nous étions là aussi quant Mouamar Kaddaffi était accusé de massacrer son « peuple ». Nous observions aussi quand Mobutu fut chassé par une « Révolte des Banyamulenge ».
Nos yeux étaient ouverts lorsque à une époque plus ancienne, un certain Noriega fut installé au pouvoir par une puissance étrangère au PANAMA.
Nous n’avons pas oublié les opérations AJAX en Iran et son oération Jumelle au Guatémala.
Les Burundais veillent…….
PS : Pour rappel, à propos de l’opération AJAX :
» La CIA, organise une fausse manifestation du Tudeh à Téhéran, ses agents détruisent les symboles de la monarchie, attaquent des mosquées pour provoquer une riposte des monarchistes et de l’armée. Les objectifs sont atteints, Mossadegh est arrêté, le Shah est remis sur le trône, le général Zahedi est nommé premier ministre, et le Front national interdit. Mossadegh, jugé, emprisonné, puis assigné à résidence, meurt en 19674.
L’opération Ajax est le premier complot organisé par la CIA pour renverser un gouvernement démocratiquement élu. Le succès obtenu avec une logistique modique et un coût relativement faible encourage l’agence américaine à mettre en œuvre une opération similaire au Guatemala un an plus tard. »
source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Ajax
Mike, Rappellez-mois vous qui avez visiblement une bonne mémoire, c’est déjà le quantième mandat du « facilitateur » Museveni en Ug.? Et on vient nous dire, « Tout à commencé avec le 3ème…; un mandat de trop…, vous n’avez pas fait ceci, vous n’avez pas fait cela. » Et on assassine nos officiers, et les Paci et consorts se réjouissent qu’un « mandat de trop se paie un autre « boureau » . Si un lanceur de grenade est arrêté, pas tué; je dis bien « arrêté pour être jugé », on dit qu’un citoyen honnête et paisible est arbitrairement arrêté sans mandat par service criminel d’un Président illégal ».
Messieurs les soutiens aux opposants,
Croyiez vous qu’on va arrêter de vivre parce que vous êtes amoureux des opposants?
Croyiez qu’on va dire, ayez pitié de nous, prenez le pouvoir et faites-en ce que vous voulez, et laissez-nous en paix?
Vous attendez-vous à ce qu’un jour on va vous dire:,un Jacques va épouser certain Marc au nom de la loi pour tous?
Vous vous attendeez à ce que l’on vous dise: les lanceurs de grenades vont occuper le ministère des affaire sétrangère pour que vous coopériez avec qui vous voulez??????? Hein
Mon oeil!!!!!!
ON ÉTAIT LA QUAND TOUT A COMMENCE, EN TOUT CAS CE N’EST PAS LE 26 AVRIL 2015
Nous vivons dans un monde où la force est un paramètre pour opresser les autres! C’est un monde qui est de loin de l’objectif primaire de son créateur! depuis la conception de cette planète, son créateur l’avait concue dans les perspectives de paradis et voilà que la persone humaine en a changée en ce monde coldioxidé! Une sorte d’enfer1
si les americains etaint vraiment democratic ,ils allaient encourager les opposant a attendre les elections presidentielles qui ne reste que 4 years.
J’adore le mot « CO-FACILITATEUR » qui renvoie à « dialogue ». Je déteste médiateur qui signifierait « négociation ». Messieurs les Sindu, Bujumbura vous a battu diplomatiquement, n’en déplaise aux Louis Michel et consorts
Avez-vous constaté ceci:
La Belgique a parlé et s’est calmée
La France a parlé et s’est calmée
C’est Washington qui continue à parler.
Son Excellence Magufuli a rencontré son Excellence Paul Kagame
Son Excellence Mkapa a rencontré leurs Excellences Museveni, Kagame et Nkurunziza
La délégation de haut niveau du Burundi a rencontré leurs Excellences Magufuli et Mkapa.
Pourquoi Monsieur Tom Perriello va-t-il à son tour rencontrer Mkapa ? Il demande au Burundi de ne pas entraver le dialogue inclusif, connait-il ce que ces Présidents se sont dit ? Ou c’est une manière de chercher à le savoir ?
Si vous prenez du recul historique, vous prédirez certainement que Washington continuera sans aucun doute a parler pour le « dialogue inclusive »..rappelez-vous que seuls les Ambassadeurs Américains a Bujumbura ont critique sévèrement les gouvernements du Burundi en 1972 (Amb. Melady) et en 1993 (Amb. Krueger)…Les contextes de 1972 et 1993 étaient plus terribles qu’aujourd’hui, mais les Américains et Occidentaux ont crie au secours contre le génocide et tueries ..Au contraire, l’URSS (les Russes soutenaient les partis uniques et la souveraineté des régimes d’alors, de même que l’OUA). Tout au moins, la « liberté » n’est pas un vain mot pour les Américains…Heureusement, pour eux et pour nous, ils ont les moyens et l’endurance, sinon rappelez-vous que l’URSS, avec son parti unique, serait toujours maître d’une partie du monde, notamment l’UPRONA, son corollaire et parti unique au Burundi, serait aujourd’hui toujours maître du Burundi….La paix du dialogue peut se faire entre Burundais de bonne foi sous la médiation du Sage HE Mkapa.
Reka sha kubesha. Ivyo vyabaye muri Afrika centrale kuva 1990, URSS ntiyari ikiriho. Vyagizwe n’Abamerika, baravuga cane kandi babesha. Iyo bari hanze bavuga ibinyuranye n’ivyo bavugiye mu Burundi.
Woharira ko Uburundi bwikukiye bufise imigambwe myinshi muri 1961 hanyuma sous l’inspiration de la Chine et de l’URSS ibihugu vyinshi muri Africa vyinjira muma dictatures ya Parti Unique, au Burundi en 1965? Woharira gute ko URSS yatembagaye 1990 tugaca turonka imigambwe myinshi muri 1992 sous le forcing des Occidentaux contre les partis uniques en Afrique ? Ubu hoho, muri Africa ko Khadafi ariwe yarasigaranye Parti Unique jusqu’a sa mort, ntivyamwereye. Na Syria, Parti Unique ivuyeho muntambara en cours…….Dialogue iragoye igihe hari iciyumviro kimwe gusa, kandi hashobora kuba vyinshi abantu bakisanzura, hanyuma bagatera imbere mumahoro…Iyo La Baule, na Occident batagira forcing i Burundi, Frodebu na Ligue Iteka ntivyavuka, …haba hakiri un dictateur militaire…wo mu Rutuvo ou ailleurs…? La marche de l’histoire twese ntidusiga natwebwe inyuma …mondialisation technologique n’ibindi vyamateka ya democrasi na droits de l’homme..Intambara zayo mateka zamaho kwisi….
Bose bari bakwiye gusoma ibi wanditse bwana Claude!!! C’est une réalité! Merci bcq Mr Claude! Harya bavuga ngo « Utumodoka dutoduto twiheka kubiduga bini bini ». Ataruko hoho zica ziba ingorane arinaho hava wamugani ngo » Inkezi ikeba ubwo bireha ». Le choix est clair pour le pouvoir de Bujumbura. Soit s’allier avec les américains ou carément s’allier avec les russes ou les arabes comme Bujumbura le prétend aujourd’hui!
@Claude Nahayo
Woharira ko Mobutu yatwaye Kongo kuva 1965 gushika muri 1997 Kongo ifise umugambwe umwe kandi Mobutu ari mu kibaba c’abanyamerika? N’ubundi burorero ntibubuze, nguhaye akakwegereye!
Ntahitangiye,
Ton constat est vide et n’a rien d’attention! Tom Perriello est à son travail de l’ONU, rien donc d’anormal et il va dresser son rapport à l’ONU. Plutôt le monde devrait tirer une attention particulière de tes écrits mais aussi de la personne à qui tu travaille pour le moment. Apparement que tu as opté pour » Ndumuja ». La terre est une unité malgré les continents, les rivières, les océans et toutes sortes de frontières. Cette planète devrait êre notre paradis avant que nous rendons notre âme. c’était cela l’objectif principal de son créateur. Cela étant, chacun qui ayant bénéficié ce cadeau de droit inaliénable devrait vivre cette planète dans la gloire, la paix, dignité et l’harmonie!
None mu gihe hatanga iciyumviro uwo mugomvye, mwumva iyo ari democratie, n’ivyo bitabashimisha reka bivugwe, uza gukira ingwara arayirata. Ubwicanyi bugirirwa igice c’abarundi, atari ababica, ntabandi bashobora kubigumiza mu mitima yacu, reka abarundi bavuge, kuko kwica ntivyaremewe abantu bose. Akariho ntigahogwa nivyo vyatumye amaraso aseseka nk’imvura mu burundi. Abarundi twarahoze kuva ubwicanyi butanguye 1965-2016, imitima myinshi y’abarundi irakakiwe n’akarenganyo ko kwama tuzira inda z’imigwi yihebeye kurya bahoneje abarundi. Ivyo tuvuga vyose bireke bisomwe kuko urupfu bica abarundi, bibabaje incuro zitavugwa kurusha kuvuga ibiriko biraba.
L’Amérique n’est pas Dieu! et bcp d’américains ne sont derrière ce plans machiavélique de renverser les institutions burundaises par forces. Dieu est avec le Burundi et ne nous laissera pas dans les mains des mecreants qui veulent nous embourber dans l’idolatrie.
Puisse ton dieu faire tomber les écailles qui t’empêche de sentir avec ton cœur le désarrois de tes concitoyens qui vivent un véritable drame.
dieu ou Dieu ?
Les Etats-Unis attendent des résultats
Ce qui compte pour nous, souligne-t-il, c’est d’avoir des observateurs sur place qui pourraient vérifier si des personnes sont tuées ou ont disparu. «Le gouvernement dit s’engager pour que les Burundais puissent se sentir en sécurité mais en même temps, il y a des cas de torture et des exécutions extrajudiciaires. Ce genre de double langage ne bâtit pas la confiance et n’aide pas à aller de l’avant», a-t-il conclu avant son départ pour Dar es-Salaam.
Et pourtant ce monsieur Tom Perriello ne pointe pas du doigt des abus commis par ses travailleurs qui semer les troubles dans ce pays en tuant les civils innocents jours et nuits avec les grenades dans des bars et les lieux publics?? Quel paradoxe?? Des pyromanes qui deviennent les pompiers?? Nous n’accepterons pas que notre pays devienne un pont de déstabilisation du Congo et c’est dont Nkurunziza est victime. Dieu est grand et le Burundi vaincra. Essayez de convaincre les Tanzaniens, mais nous savons d’avance qu’ils n’accepteront jamais votre plan macabre. Merci
« Tom Perriello ne pointe pas du doigt des abus commis par ses travailleurs qui semer les troubles dans ce pays en tuant les civils innocents jours et nuits avec les grenades dans des bars et les lieux publics?? ». Accusations sans fondements ni preuve. On se demande d’ailleurs pourquoi soudainement les USA voudraient déstabiliser un pays avec lequel ils ont coopéré pendant de nombreuses années. Si encore, il y avait des ressources naturelles au Burundi, on pourrait envisager un début d’hypothèse. Mais là, vous êtes en train de nous dire – accusation grave – que les USA financent les actes de violence dans le pays afin de mettre la main sur … les mines de nickel du sud dont le cours s’est effondré ? Très drôle. On croirait lire la propagande gouvernementale. Combien vous paie-t-on ? 😉
« Ce genre de double langage ne bâtit pas la confiance et n’aide pas à aller de l’avant »
OMG, vraiment ? Tu as menti vraiment ? Ooooh, pourquoi fais-tu ça vraiment aux américains? Et pourtant tu vas prêcher le dimanche, la bible sur le coeur, chantant et louant le Seigneur. Je sais, tu t’es repenti, tu vas même bientôt renaître de nouveau, ENCORE. Mais la repentance sans changement, sans résolution de faire demi-tour est une FAUSSE RÉPENTANCE. Vaut mieux être froid ou chaud et non TIÈDE. Que Dieu te corrige, !
Il n’a rien dit pour le CNARED (SINDUHIJE et NININAHAZWE Pacifique) qui lance des grenades sur la population Burundaise. Oh ce monde est plein d’injustices. Heureusement qu’il a confirme son desagrement avec un dialogue qui vise le partages des postes. NB, c’est le peuple Burundais qui octroi des postes a travers des elections.
@A Hima J. Au Burundi il n’y a pas eu élection.Le CNDD-FDD avec ses partis satellites (pour tromper l’opinion internationale) a forcé le peuple à l’élire.Si les choses étaient transparentes avec des partis politiques d’une opposition réelle Nkurunziza et les DD ne gagneraient jamais les élections aujourd’hui au Burundi.IL en va de même avec Denis Sasou Ngeso du Congo-Brazzaville,de Kabila du Congo-Kinshasa,de Museveni en Ouganda et de Kagame au Rwanda.Assez d,une démocratie qui n’existe que dans vos gueules!
S.V.P, Y a-t-il quelqu’un pour faire taire cette HIMA Jeremy.
Hima Jeremy,
Les grenades qui sont lances sur la population, sont les consequences de la violation de la constitution, amanyanga ngo n’amatora, la repression sanglante des citoyens qui a suivi et ces crimes que les policiers, militaires , les imbonerakure et les FDRL de Nkurunziza sont en train de commettre pour faire taire les citoyens burundais face a cette violation des lois. Pendant ses 10 ans au pouvoir, il n’ y a pas eu des grenades. Tu peux ecrire du bla bla a longueur de journee , tant que les criminels soutenant le 3eme mandat illegal continuent a museler les citoyens pour le bien etre d’une seule personne egoiste, tous les maux sont previsibles et tu as encore a ecrire a qui te croient encore.
Monsieur ou Madame Jonh N, un jour ces grenades tomberont sur ta tête ou sur la tête d’une de tes connaissances, ce sera juste lancé contre le 3ème mandat.
Le retour de Jeremy Hima ne signifie rien d’autre que des tentatives, assez vaines admettons-le, de faire passer le message du gouvernement sur Iwacu. En fait, ce sont toujours les trois ou quatre mêmes individus qui encensent le pouvoir, tel un chien mangeant dans la main de son maitre. Mais l’on voit bien que la majorité des Burundais ne sont pas dupes et savent très bien que la responsabilité initiale de tout ce chaos se résume en deux mots : « troisième mandat »
Mwe BanyaMerika Soyez clairs hamwe Peter na leta yiwe borahira bakarengwa ko atabiganiro muzogira akajede kameze gute? ?