Nous publions ci-dessous un droit de réponse, conformément à la législation sur le droit de la presse. L’article et les commentaires incriminés ont été supprimés.
« Mis en cause de manière inacceptable et insultante dans un article intitulé “Amahoro Burundi : Le dialogue vecteur de culture de la paix et de la Réconciliation” (dans les commentaires) publié sur le Website IWACU, en date du 13 mai 2016, Luc MICHEL, président du PCN et de PANAFRICOM, tient à apporter les précisions suivantes :
Je suis grossièrement insulté dans les commentaires de cet article de « neo nazi belge », insulte récurrente dans vos publications et leurs commentaires (notamment en date du 6 mai 2015). Je déplore ce ton insultant, reprise de ragots issus de mes adversaires politiques les moins malins, qui vous déconsidère. L’insulte abaisse toujours l’insulteur ! Elle révèle aussi l’absence d’arguments sérieux pour débattre. Rien ne concerne mes engagements réels. Le lecteur jugera !
Je ne suis pas un « militant néonazi » et n’ai jamais appartenu, ni comme dirigeant, ni comme cadre ou membre, à l’organisation française mentionnée abusivement par Wikipedia. Ma soi-disant « biographie » sur Wikipedia (et ses clones d’extrême-droite), qui a été rédigée pour me nuire et me déconsidérer par mes adversaires politiques, liés aux polices politiques de l’OTAN, comporte des éléments inexacts et, mensonge par omission, dissimule une grande partie de mon parcours politique réel. Je vous met au défi de produire un seul de mes nombreux écrits (j’ai publié plus de 16.000 éditoriaux depuis 1983) depuis 32 ans qui soit en faveur du Nazisme.
Les faits dissimulés par Wikipedia sont les suivants :
* Je dirige depuis plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI « EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence à la Résistance allemande antinazie), qui combat précisément le néonazisme et le racisme.
J’ai été l’adversaire principal du Front National en Belgique, à qui j’ai brisé les reins en 1994-96 par mes actions politiques et judiciaires victorieuses devant les tribunaux belges. Je combat aussi le FN des Le Pen. En 1998, à l’élection partielle de Toulon (France) en avril 1998, nous présentions une liste intitulée : « PCN. LES JEUNES CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».
Notre Collectif a aussi combattu dans les pays baltes et en Moldavie pour le respect des droits des minorités ethniques, russophones notamment. Et contre la réhabilitation du nazisme par les états révisionnistes baltes et ukrainien.
Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à recevoir de qui que ce soit !
* Le PCN n’est pas un « parti d’extrême-droite » et encore moins « néonazi ». Accusation insultante proférée par nos adversaires politiques, en particulier au sein de l’appareil d’état belge. Les observateurs sérieux le constatent tous.
Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue scientifique belge de sciences politiques – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB – écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont en opposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti se revendique du « Communautarisme européen » et est constitué, selon un document interne, de 7 tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicaliste révolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrate européenne) ».
François Heinderyckx professeur à L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, classait le PCN à l’occasion des élections européennes de 1999 et sur base de son programme parmi la « gauche révolutionnaire » (Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internet d’INFONIE, Belgique).
A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem par l’Institute of Jewish Studies, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN son antisionisme, précise que « The PCN is not a far-right organisation ».
* Je dirige une ORGANISATION PANAFRICANISTE, PANAFRICOM (PANAFRIcan action and support COMmittees), qui défend le « Néopanafricanisme », des comités étant présent en Afrique, en Europe et au Canada. Le SG pour notre « réseau Afrique », Gilbert NKAMTO, est camerounais.
C’est en tant que président de PANAFRICOM que j’ai été reçu par les présidents équato-guinéen Obiang Nguema Mbassogo (avril 2015), tchadien Idriss Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre Nkurunziza (mai 2016) et Joseph Kabila Kabange (mai 2016).
J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM dans des réunions internationales consacrées au « nouveau Panafricanisme » : Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée nationale, avril 2016), Conférence de Bujumbura (mai 2016), Café Politique du PPRD (Kinsasha, mai 2015), Conférence de Québec (juillet 2016).
* Parallèlement à mon action en Europe depuis plus de 30 ans, menée autour du « Néoeurasisme » (réinventé par ma Revue CONSCIENCE EUROPEENNE en 1984), j’ai un parcours panafricain de plus de 25 ans, commencé en Jamahiriyah libyenne avec le MCR, et qui m’a conduit à PANAFRICOM.
Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE MEDIA, où je suis éditorialiste et producteur d’émissions de géopolitique (Grand Reporter, Grand Jeu).
Luc MICHEL (12 août 2016) »