Arrestation d’Audifax Ndabitoreye
18h10. Ce candidat à la présidentielle de juin prochain pour le compte de son Association Imbono Charisma, vient d’être arrêté à sa sortie de l’Hôtel Panoramique par des agents de la police et du SNR. Il a été vu à maintes reprises au-devant des jeunes manifestants à Nyakabiga depuis le déclenchement des manifestations contre la candidature du président Nkurunziza au troisième mandat.
L’intercession du président de l’OPB (Observatoire de la presse au Burundi), Innocent Muhozi, et de l’Ambassadeur Jolke Oppewal du Royaume des Pays-Bas au Burundi n’a pas dissuadé ces agents du SNR. Ces deniers continuaient à exhiber un « mandat d’arrêt dûment signé par le Procureur général de la République.»
L’Ambassadeur Jolke Oppewal a plusieurs fois rappelé à ces agents du SNR que M. Audifax Ndabitoreye est citoyen néerlandais et qu’il allait suivre de près cette affaire. Il a promis de faire un rapport à son gouvernement.
Innocent Muhozi était ému jusqu’aux larmes. Il n’en revenait pas : »C’est ce genre de maladresse qui ternit l’image du pays. »
Chasse à l’homme dans les buissons bordant la Ntahangwa
15h. «On va les chasser comme des antilopes », aurait clamé un agent du SNR qui semble donner des ordres aux policiers qui sont en train de débusquer littéralement les manifestants cachés dans les bosquets se trouvant au bord de la Ntahangwa côté Nyakabiga.
Deux manifestants qui étaient dans ces buissons sont déjà arrêtés. Les jeunes manifestants venus de Jabe et Nyakabiga se sont dispersés quand la police dégageait l’Avenue de l’Imprimerie et le Boulevard du Peuple Murundi. Celui-ci, menant vers Ngagara, a été occupé pendant un bon quart d’heure. Juste un feu de paille avant que la police ne repousse ces manifestants après de violents affrontements.
Dysenterie bacillaire au commissariat municipal de Bujumbura
12h30. Cette maladie des mains sales s’est déclarée au commissariat municipal de Bujumbura où sont acheminés le gros des manifestants qui ont la malchance de se faire arrêter. La Croix-Rouge est déjà contactée pour s’enquérir de la situation. Plusieurs cas sont déjà signalés. Les familles des manifestants et leurs avocats le confirment.
Nyakabiga : Face à face entre les policiers et les manifestants
11h45. Ils sont plus d’une centaine à faire face à la police anti-émeute bien décidée à disperser tous ces manifestants massés sur l’Avenue de l’Imprimerie à Nyakabiga. Ces derniers réclament à cor et à cri un passage. Ils scandent des slogans contre le président Nkurunziza. Ils sont à moins de 5 m du barrage des policiers. Mais n’ayant pas trouvé d’issue favorable à leur demande, ces manifestants viennent de changer de direction.
Kinama : 7 jeunes manifestants arrêtés
11h. Ces jeunes gens ont été arrêtés par des Imbonerakure et des policiers assurant la garde de l’administrateur de cette commune. Ils étaient au-devant des manifestants, chauffés à blanc et tenaient à manifester. Mais les Imbonerakure, qui jouent les auxiliaires de la police, sont décidés à stopper ce mouvement.
Des manifestations de petite envergure sont signalées dans cette commune périphérique depuis ce lundi. Mais chaque fois que les jeunes opposés à la candidature du président Nkurunziza au troisième mandat tentent de se regrouper, ils rencontrent une résistance de la police et des Imbonerakure.
Kinindo : 4 jeunes manifestants arrêtés
10h30. Ces jeunes gens s’étaient éloignés des autres manifestants quand ils se sont retrouvés nez à nez avec un pick-up pleins de policiers. Ces jeunes manifestants étaient apparemment fatigués, ils n’ont même pas tenté de s’échapper en courant. La police les a cueillis sans problème.
Le gros des manifestants dans ce quartier se dirigeait vers commune en empruntant l’Avenue Rusama. Quand la police se rapprochait de ces manifestants pour les disperser, ils s’asseyaient à même le sol, les bras en l’air pour montrer qu’ils sont inoffensifs.
Mais aussitôt que la police baisse la garde, ces jeunes manifestants en profitent pour avancer en scandant des slogans contre la candidature du président Nkurunziza au troisième mandat.
Kajiji: 4 explosions de grenades
10h30. Les manifestants et les Imbonerakure étaient face à face à Kajiji dans la commune Kanyosha, prêts à en découdre quand quatre grenades ont explosé. Ces jeunes gens se sont dispersés, prenant leurs jambes à leur cou. Le nombre de blessés n’est pas encore connu. Une ambulance de la Croix rouge a été aperçue en direction de ce quartier chaud.
Bwiza toutes les avenues sont bloquées
10h 30. Dans Bwiza, aucune rue ne passe, toutes les avenues sont barricadées par de grosses pierres et des pneus en flamme. Les policiers sont postés sur les principaux axes entrant dans cette commune urbaine qui n’avait pas encore connu de manifestations d’une grande ampleur.
Ces forces de l’ordre font face aux manifestants qui continuent à scander des slogans hostiles au président Nkurunziza dont la candidature pour un troisième mandat vient d’être validée par la Cour constitutionnelle.
Rweza : 7 Imbonerakure arrêtés par la population
10h. N’eût été une intervention militaire, ces Imbonerakure auraient succombé à la vindicte populaire. La population a failli les lyncher. Ils ont été tabassés. Ils ont admis être des démobilisés « appelés en renfort à la police ». La jeune femme du groupe est soupçonnée d’être une informatrice de l’agent des renseignements dénommé Kazungu. Cela est arrivé en parallèle aux manifestations qui avaient débuté à 4 heures du matin.
Kanyosha : Vives tensions entre les manifestants et les Imbonerakure
10h. Le risque de confrontation entre les manifestants et les Imbonerakure est réel à la 6ème avenue. Ces jeunes sont en train de s’invectiver. D’un côté, ces Imbonerakure brandissent leurs gourdins, de l’autre, les jeunes manifestants sont armés de pierres.
Ces derniers accusent l’administrateur de la commune Kanyosha d’avoir distribué, ce matin, des armes aux Imbonerakure, « une dizaine de grenades et de pistolets». La police s’est rangée du côté de ces jeunes du parti au pouvoir. L’armée est présente, elle tente de calmer la situation.
Les reporters d’Iwacu ont été brutalisés par ces Imbonerakure, ils ont dû rebrousser chemin au moment où deux ambulances de la Croix Rouge et des pick-up militaires se dirigent à toute allure vers ce quartier.
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>>> Manifestations du mercredi 6 mai 2015 en images
on ne devrait pas s’abaisser au niveua des imbonerakure en les tabassants ainsi! nous sommes plus civilises que ca! on devrait plutot etre un modele de manifestation pacifique, pour ne pas donner aux policiers un motif pour tirer sur leurs freres et soeurs qui manifestent contre la faim et l’emprisonnement de la democratie!
Iyo abantu bariko baragira imyiyerekano n’ukugerageza kwikingira kugire ntufatwe canke ukomereke:
1) N’ukuguma mukagwi atagusanza kuko uri umwe canke babiri abapolisi barambangukirwa kugufata;
2)N’ukwipfuka n’udutambara mu maso kugire ubwambere abapolisi ntibakumenye kandi kwikingira vya vyuka;
3)N’ukwitwaza amazi mu ducupa kugire iyo babateye vyavyuka mushobore kwiyoga mu maso;
4)Abagore n’abakobwa n’ukwambara amapantaro nka jeans kugire bashobore gukingira umubiri wabo no kwiruka igihe abapolisi bari inyuma yabo hamwe n’igihe bazoba babafashe kuko ibikwembe ntibifasha neza muri ico gihe;
5)N’ukwitaza utubuye twinshi hamawe n’amatopito yogushobora gutera abapolisi kugire bagume kure ntibababuze kugira imyiyerekano;
N’ukubandanya urugamba gushika Nkurunziza ahevye kuzosubira kwitoza.Intsinzi iri kuruhande rw’abanyagihugu bagwanira iteka n’ubutungane.Komera ku muheto.
Message de Burundi News
A L’ATTENTION DES MANIFESTANTS AU BURUNDI :
POUR FACILITER LES PLAINTES ULTERIEURES ET AUSSI IDENTIFIER LES POLICIERS QUI TIRENT SUR LES MANIFESTANTS, NOUS VOUS DEMANDONS D’IDENTIFIER LES OFFICIERS QUI COMMANDENT CEUX QUI TIRENT SUR VOUS ET AUSSI CEUX QUI TORTURENT.
IDENTIFIER LEURS COMMUNES D’ORIGINE ET LEURS LIEUX D’HABITATION EN VILLE.
Cela permettra de porter plainte ultérieurement et en cas de besoin envoyer des messages précis pour leur demander d’arrêter.
Mettez sur les réseaux sociaux les commandants des policiers qui brutalisent les manifestants, l’heure, le lieu et la date.
Ces filles ou femmes qui manifestent ont besoin d’un encouragement special. Et ce changement de mentalite va, enfin, nous forcer ou rappeler qu’il faut moitie/moitie hommes/femmes dans les institutions.
Allez-y braves filles et femmes. Nous sommes vos « rejetons » et ne devrions pas vous narguer ou vous releguer aux oubliettes lorsque les hommes se partagent les Bitigu, Impindura et « autres morceaux de viande ».
Opposition yari guca ihagarika ibiganiro inyuma y’ihagarikwa rya Audifax Ndabitoreye. Nabo nyene bariko barabahendahenda
ni qestion de temps kugira babafate. Ariko manifestation pacifique irabandanya.
Izo mbonerakure nta nguvu ziturusha na gato. Ego barafise inkoho na za grenade barabigishije techniques z’igi police, ariko nta gutinya. Turazibaka, turabishoboye.
Tanga vos suggestions sur les sites, strategies, ingene twokwigenza face a ces animaux policiers/SNR/imbonerakure.
reculer est exclu.
Garukira Mana uburundi. Imana mvuga si imwe Piter ahora avuga kuko ntiygeze imutuma kwiba mandat, kwiba igihugu, kwica no kwicisha inzirakarengane nkuko biri uno musi!! Ihagarareko naho twofungwa ubsho bukuzura ntituzoheba.
Audifax Ndabitoreye est citoyen néerlandais et qu’il allait suivre de près cette affaire. Il a promis de faire un rapport à son gouvernement. Iwacu igihe un enfant citoyen francais yahakwa kwicwa ko ataco mwavuze ikibiriraho…ntimuhinduke namwe??
Karabaye ko abavukana batanguye guhigana nk’ubukara. Wawundi ngo « bacemwo ». Turi bubibone ga! Ntibikenewe kuba uri umuhinga kugira ubone ko politike twinjiyemwo muri iyi misi ari ruhonyanganda. Arihenda, uwo muntu wese yibaza ko inyungu ziwe n’akagwi kiwe ziruta vyose.
La violene appelle la violence. Je m’informe naturellement comme tout le monde. Je fais des commentaires comme tout le monde. Pourquoi mes commentaires n’apparaissnet presque jamais?
Vous sentez maintenant ce que c’est etre prive de parole en l’abscence de telephone? Traitez les autres comme vous aimeriez qu’on vous traite!
Niwaba wandika ibisambura, ukaba uri umwansi wa democratie, aha hakenewe abubaka, abashigikiye abrwanira
inyungu za benshi apana za Nkurunziza et sa clique Eheeeeeeeeeeeeeeeeee!
Le génocide politique est déjà en cours au Burundi. Le laboratoire est au BSR et le crime est supervisé sur terrain par le D.G Adjoint de la police sous les ordres de Mr Pierre Nkurunziza président du Burundi. Le virus c’est celui de la choléra!
Aux manifestants, il faut passer par la vitesse supérieure: cibler les résidences de nos dirigeants qui commanditent ces crimes. Il s’agit du Général Adolphe, Ndakugarika, Kazungu. Comme ça Nkurunziza on aura anéanti son entourage.
@Burundi
N’exagérons rien, il n’y a pas de génocide au Burundi pour le moment, et cela est tant mieux, je dirais même cela honore notre pays. Evitons donc les dérapages et les surencheres dans les paroles et le ton. Nkurunziza et sa clique n’attendent que cela pour se remettre en selle. Ne leur rendons pas ce service. Badusavye ko tubatera ivyatsi, on va leur faire cette faveur.
Ceux qui meurent ne seront pas oubliés, Nkurunziza et sa clique se trouveront demain devant le tribunal.
Je crois qu’il faut arrêter certains responsables administratifs avant qu’il ne soit trop tard pour les empêcher d’organiser ces imbonerakure. A kanyosha, on dit déjà que c’est l’administrateur lui-même qui distribue les armes. Je vous informerais aussi qu’un certain CIZA Isaac, administrateur de la commune de Nyabihanga, est entrain de faire la même chose. Il faut le suivre de près et si nécessaire l’arrêter avant qu’il ne soit très nuisible. Cher compatriotes, l’heure a sonné, il est temps de libérer notre patrie!! Nos parents ont été tués par ces gens, ils les ont empoisonnés, ils les ont emprisonnés!! Faîtes tout pour libérer notre chère patrie, nous vous soutenons moralement et matériellement. Merci.
Le Problème est que Nkurunziza et sa clique sont décidés à détruire le Burundi. Que des manifestant perdent les nerfs et s’attaquent aux Mbenerakure et nous allons nous faire happer par un engrenage infernal. Il va falloir être déterminé et résister à toutes les provocations. Il va falloir nous armer de patience. Nkurunziza et sa clique ne partiront que si nous leur refusons toute coopération . cela veut dire: 1. Rester dans la rue. 2. Ne tuer personne.
Ceux qui sont tués par la police sont les premiers héros authentiques de notre Burundi moderne qui reprend son histoire perdue à Kiganda. Le Burundi qui se léve et demande des comptes à l’autorité. Nous demanderons à Nkurunziza et sa clique des comptes pour les dix années de gestion catastrophique et aléatoire du bien public et surtout nous leur demanderont des comptes quant aux jeunes vies qu’ils sont en train de faucher par policiers interposés. Au policiers qui font du zèle et croient éxecuter des ordres en tirant sur les manifestants, nous rappelons que de tels ordres sont illégaux et ne peuvent pas être éxecutés. Ces policiers doivent savoir qu’ils commettent des crimes dont la sanction est clairement écrite dans le code pénal du Burundi. Demains quand tout cela sera passé, ces policiers se trouveront devant le tribunal à répondre de leurs actes individuellement ca ne sera pas la police ni les Hutu ni les Tutsi, ca qu’as-tu fait toi Paul, Jean, Hamid, Bucumi, Karengane….. Policiers cessez de tirer sur les manifestants, cessez de brutaliser les manifestants la loi burundaise vous l’interdit, un ordre contraire à la loi est illégal et ne peut pas être éxecuté.
Le Burundi change devant nos yeux. Si nous tenons, nous reprendrons notre dignité que le conon allemand nous enleva il y a 100 ans que Micombero bafoua en 1972 et que Nkurunzza essaie d’écraser aujourd’hui. Nous sommes à la croisée des chemins au rendez-vous avec notre histoire. Nous devons individuellement choisir soit la marche en avant soit un retour dans ce monde d’humiliés, de moqués de sous hommes ou nous n’avons fait que survivre alors que nous sommes appelés à vivre, à décider de notre sort en homme libres, débout et dignes, à être un peuple solidaire.
Je vous le promets, si nous tenons demain sera meilleurs; nous devons tenir.
Je crois que manifester contre un 3eme mandat est different de s’attaquer aux Imbonerakure. Finallement ces derniers ne sont pas armés comme on nous le fait toujours croire. Sinon je ne comprendrais pas pourquoi ils ne se defendent pas. Umuriro umuntu amenya ingene awatsa ntamenya ingene awuzimya. Jewe nari nanezerewe na message yahawe les manifestants ngo ntihagire uwo bica canke ivyo bonona none ugasanga ari uko, mbona Nkurunziza atazokwijana wenyene i Lahaye!
Nyamba udakomeye, izobafashe muri rural zarizifise inkoho. Mukanyosha zateye 8 grenades. Nimba urimurizo ntiworeka kuzivugira
ça parait irréaliste de vous dire de bien traiter ces imbonerakure alors même que certains d’entre eux ont été armés par certains autorités,….mais c’est vos bons comportements face à vos adversaires qui vont faire qu’ils vous rallient dans pas très longtemps maintenant.
« ces derniers accusent l’administrateur de la commune Kanyosha d’avoir distribué ce matin des armes aux imbonerakure (une dizaine de grenades et de pistolets) ».
Cela ressemble à KAMBANDA à Butare.
Les erreurs des autres devaient nous servir de leçons SVP.
On comprend alors un peu plus les basitanteri de certaines communes du Burundi qui ont déjà préféré prendre le chemin de exile.
Ces soi-disant Imbonerakure sont eux aussi des minables malheureux comme ces milliers de manifestants contre le 3eme mandat de Pierre Nkurunziza a la Presidence du Burundi.Au lieu de continuer a se laisser manipuler et exploiter par les hommes au pouvoir au risque de leur vie, ils devraient plutot rejoinder le movement pour faire pression sur Nkurunziza pour qu’il entende la voix de la raison et change d’avis en abandonnant ses chimeres de se faire reelire illegalement et illegitimement.Les Imbonerakure chosissez le camp des heros avant qu’il ne soit trop tard et dire « #Non au 3eme Mandat de Pierre Nkurunziza,#Sindumuja. »
Je conseillerai à tous ces gens qui suivent, dans les manifestations, les gens de MUSAGA, de NYAKABIGA, de CIBITOKE-MUTAKURA et NGAGARA, de voir s’ils ne sont pas entrain de suivre comme des moutons. Par ailleurs, pourquoi les organisateurs de ces manifestations donnent – ils des ordres à partir des recoins où ils se cassent mais exposent des gens qui ne vont rien récolter de ces manifestations ?
Les politiciens vous roulent et vous ne le voyez pas. Vous risquez de vous trouver entrain de marcher contre vous – même sans le savoir.
Tu te trompes, les organisateurs sont sur terrain. Regarde la video où Audifax se fait tirer dessus.
mes ami et ou sont alors les armes distributes aux imbonerakure ?? ko bakubitwa , burya umuntu bien armé nkuko vyavuzwe yoreka bakamwirukako uko nyene??????
Inkoho ntaco ikora iyo abanyagihugu bahagurutse, uzoyikoresha kubantu batinya
pour quoi je ne vois que es moins de 18 , voir moins de 15ans sur les photos des manifestant? ndasavye munyishure
Chers compatriotes, allons droit au but : attrapons les donneurs d’ordre. ces derniers se la coulent belle et envoient ces pauvres imbonerakure. Ce sont toujours les petits qui trinquent ! Il y en a marre. Attrapons les gros poissons qui roulent dans la farine les petits citoyens !!!
Attrapons les Willy Nyamitwe qui manifestent sur facebook, les Adolphe Nshimirimana qui reste dans ce bar Iwabo w’abantu de peur d’etre lynché, les Kazungu qui n’entrent plus dans certains quartiers, si c’est pas tous. Comme Nkurunziza n’aura plus d’entourage et devra céder!
» La police s’est rangée du côté de ces jeunes du parti au pouvoir. »
Voilà ce qu’il faut souligné
Nous devons rester soudé. La vérité doit triompher.
Nimubamese ni mubamese mushikire na ba sebuja(dolofu na kazungu) abo bicanyi baribagira ko nabo nyene bava amaraso.
je remercie vivement le journal Iwacu pour ses informations qu’il nous donne. Nous qui vivons a l’étranger nous en avons bcp besoin. Merci aussi a tous ce Burundais qui sont en combat pour le respect de la constitution et les accords d’Arusha. Qu’ils sachent que le monde entier est de leur cote. Nkurunziza, Nyamitwe, Nyabenda, Nshimirimana , Bunyoni sont seuls contre tous. Ils vont tomber certainement. et quand? très prochainement
Merci pour les belles images !Cela me rappelle celles de l’année 1972 où nous voyions des gens menottés , tabassés, saignants, agonisants , entreposés comme des sacs de haricots dans des camionnettes simple-cabine. On nous disait alors que ce sont des « bamurere », et nous y croyions.
La vérité a fini par se savoir …, j’espère aussi de tout mon cœur qu’on puisse un jour connaitre tout ce qui se cache derrière tout cela.